Vacuité et détachement

Tiré d’une conférence de Guéshé Michael Roach : Le corps immortel : guide pour entrer dans un corps qui touche l’univers entier, première partie. Vous trouverez la vidéo originale en cliquant sur ce lien (en anglais uniquement).

Les enseignements de Guéshé Michael sont basés sur les commentaires de Kamala Shila sur le sutra du Tailleur de Diamant du Bouddha, un enseignement clé sur la vacuité.

Ce qu’est la vacuité et ce qu’elle n’est pas ?

Cet article tente d’expliquer comment la vacuité est le fondement du monde et comment la compréhension de la vacuité est une technologie permettant de contrôler la réalité.

Lorsque nous disons que tout est vide dans le monde, cela ne signifie pas que les choses n’existent pas ou que tout est une illusion. Cela signifie seulement que nous vivons dans un univers de perception dans lequel chaque objet ne peut exister que dans notre perception. Que quelque chose existe ou non en dehors de notre perception n’a en fait aucune importance, car nous n’avons pas de moyen de le savoir.

Le fait que tout soit notre perception rejoint l’observation de M. Keshe selon laquelle chacun prend des enseignements en fonction de son intelligence ; et cela s’applique également à l’assimilation de la connaissance dans notre être et finalement à la manière dont nous percevons le monde dans lequel nous vivons, notre réalité.

Conducteur inattentif et patron injuste

Prenons un exemple pour illustrer le concept de vacuité : Pierre travaille comme employé dans une entreprise.

Un jour, sur le chemin du travail, une autre voiture croise sa voie et il doit freiner fortement pour ne pas lui rentrer dedans. « Espèce de con ! Tu as gagné ton permis de conduire à la loterie, imbécile ?! Va te faire foutre ! ».

Quelque temps plus tard, Peter est appelé dans le bureau du patron. La femme du patron est également présente dans la pièce. Le patron le critique en des termes sans équivoque, lui disant que son travail est tellement bâclé qu’il se voit contraint de le licencier s’il ne revient pas à la raison et ne fournit pas un travail ponctuel et efficace. Au lieu de lui donner la possibilité de se défendre, il le renvoie immédiatement à son poste de travail.

Peter est choqué et quitte la pièce très énervé. De retour à son bureau, la femme qui travaille en face de lui lui demande ce qui s’est passé et il exprime sa colère contre ce patron injuste qui ne voit que ses intérêts capitalistes et pas ceux des gens et bla bla bla…

Je pense que nous avons tous vécu cela au moins une fois, n’est-ce pas ?

Selon la loi de la vacuité, voici comment cela se passe :

  1. Chaque élément du monde est vide dans le sens qu’il n’est qu’un écran sur lequel nous projetons notre perception. Et la projection de notre perception dépend de la manière dont nous avons traité les autres. Si nous agissons avec amour et attention, nous aurons des perceptions agréables et heureuses – si nous sommes impolis ou violents avec les autres, nos perceptions créeront de la souffrance pour nous.

  2. La manière dont nous agissons est comme une graine plantée dans la conscience collective, où elle a besoin d’un certain temps pour mûrir.

  3. Une fois qu’elle aura mûri, nous verrons que le même traitement que nous avons précédemment accordé aux autres nous sera également servi.

Notre vie fonctionne donc comme le scénario d’un film dont nous écrivons le scénario et sommes le personnage principal, tandis que la loi de la vacuité agit en tant que producteur et réalisateur. Dans notre exemple, en insultant le conducteur de la voiture qui lui a pris sa voie, Pierre a semé les graines qui lui ont valu plus tard d’être perçu comme un patron injuste. En remontant encore un peu plus loin, nous savons que le conducteur imprudent est déjà le mûrissement d’une autre graine que Peter avait plantée auparavant, peut-être lorsqu’il était en colère contre ses enfants parce qu’ils lui désobéissaient.

Tant que notre conscience est mal structurée, nous sommes inconscients de tout cela, nous n’en avons aucune idée. Nous croyons – tout comme Pierre dans l’exemple – que le conducteur inattentif et le patron existent de leur propre chef et nous attaquent sans aucune raison. Nous ne savons pas que chacun de nos actes (pensées, paroles ou actions) écrit le scénario de notre avenir. Ainsi, notre ignorance crée le cercle vicieux d’une vie de misère.

Le moyen de sortir de l’ignorance est la connaissance

La solution à ce dilemme ne consiste pas à considérer le patron injuste comme une illusion et à décider de ne plus se mettre en colère – nous savons tous que ce n’est pas possible. La seule façon de sortir de l’ignorance est la compréhension de ce qui se passe en réalité. Si nous comprenons profondément que le chef est un écran vide sur lequel nous projetons le film que nous avons envoyé à la conscience collective. Si nous comprenons cela profondément, nous ne nous mettrons pas en colère parce que nous ne voulons pas continuer le cercle vicieux, mais créer une vie de bonheur pour nous et pour tous les autres.

C’est un grand travail de détachement qui – selon M. Keshe – est la clé principale pour atteindre un état d’harmonie avec notre Âme.

Le Salut Global c’est l’astuce

M. Keshe nous a raconté que, pour soutenir la fondation dans le cadre de la récente collecte de fonds, il a contacté avec son Âme les Âmes de certaines personnes qui pourraient potentiellement beaucoup aider le processus. Lorsqu’il les a ensuite appelées par téléphone, elles lui ont toutes dit qu’elles avaient déjà un sentiment qui les orientait dans cette direction.

M. Keshe a dit que si l’on a le désir d’aider les autres ou l’humanité entière, cela fonctionne toujours. Car les Âmes travaillent au même niveau dans le même but.

Pourquoi cela fonctionne-t-il ainsi ?

Parce que chacun d’entre nous est avant tout une partie de la nouvelle humanité. L’humanité est le « réceptacle » de la conscience collective qui est responsable de nos perceptions collectives et individuelles. Ainsi, si notre motivation est en accord avec le Salut Global, nous suivons le chemin de la réalité – mais si notre motivation poursuit des objectifs personnels, nous nous isolons et, par conséquent, notre désir ou notre intention est beaucoup plus faible, car il n’est pas soutenu par la collectivité.

PS :

C’était curieux que la semaine dernière, je voulais intégrer un chapitre sur le vide. Et puis cette semaine, lors de l’atelier, Azar a soudain donné l’exemple que notre vie est un film projeté sur un écran… !


Processus de création

Transformation des GaNS

Que se passe-t-il lorsque nous transposons ce que nous avons créé sous forme d’acides aminés et de GaNS en un état de vide ? Un état de vide est l’environnement plasmatique à l’intérieur de notre corps. Nous obtenons la structure de la cellule humaine. Les acides aminés à l’état plasmatique interagissent avec les champs des autres microsystèmes du corps et se transforment naturellement en ce dont le corps a besoin à un endroit donné. En fait, rien ne peut exister dans le corps, ce qui n’est pas adapté aux conditions de l’environnement concerné. Cela signifie que chaque petit microsystème est orienté vers le développement harmonieux perpétuel de son macro système – c’est ce que nous appelons l’homéostasie.

Le plasma fondamental

La création du corps commence par une cellule que la science du plasma appelle le plasma fondamental. La science d’Eden l’appelle la cellule divine.

Le plasma fondamental est le début de chaque nouveau cycle de vie. Il interagit avec les champs magnétiques à l’intérieur et à l’extérieur de lui, créant ainsi d’autres plasmas. Tous ces plasmas ont un dénominateur commun – l’Âme en leur centre, qui maintient toujours le lien avec le plasma fondamental original. Parce que chaque nouveau cycle de vie commence par le plasma fondamental, tous les plasmas se comportent de la même manière.

Le plasma fondamental, pourrait-on dire, est le Créateur qui, dans le processus de création, se divise en l’Âme et le corps de la création. Et depuis cette première création, le processus de création se poursuit éternellement à travers la création de chaque élément et de chaque événement dans tous les univers.

Une question lancinante

La religion et la science sont tourmentées par une question éternelle :


S’il y avait eu quelque chose avant le Créateur qui aurait conduit à son apparition, alors le Créateur ne serait pas le Créateur.

L’hypothèse d’un autre créateur derrière le Créateur est une impasse, car elle conduit à un cycle sans fin de « dieux créant des dieux ».

Et il y a un autre problème majeur : lorsque le Créateur a créé la création, il devait y avoir un environnement dans lequel la création a été placée ?! Et puisque cet environnement fait partie de la création, il ne peut avoir existé ni « au-delà » ni « avant » la création ! Aucun univers ne peut s’étendre s’il n’y a rien dans lequel il pourrait s’étendre !

Il est très difficile pour nous de trouver une réponse à cette question, car nous sommes complètement empêtrés dans le plan de la matière et la dualité depuis +8.000 ans – le seul endroit où la réponse à notre question ne peut pas être trouvée !

Et tant que nous ne pouvons pas trouver la réponse à cette question, nous n’avons pas encore atteint la pleine compréhension de la création et, par conséquent, nous ne serons pas en mesure de « voir comme le Créateur, de ressentir comme le Créateur et de créer comme le Créateur », ce à quoi nous sommes destinés !

La voie pour sortir du dilemme

La science d’Eden nous dit que « le Créateur a tout créé dans un élan d’amour ». La deuxième partie de cette affirmation contient l’aide dont nous avons besoin : l’impulsion de l’amour. Si le Créateur et la Création sont des champs Magrav fondamentaux, leur interaction est déclenchée par ce qui les relie. Nous savons que les liens ne sont pas des câbles statiques, mais des liens vivants et dynamiques.

Dans l’atelier de la semaine dernière, nous avons identifié ces connexions comme étant du Carbon 14. Dans ce contexte, C14 ne doit pas être compris comme un isotope matériel du carbone, mais comme un plasma. Le C14 établit le lien entre tout – un lien dynamique vivant, un lien de donner et de recevoir, un lien interactif et sensible.

Et nous savons aussi que chaque élément de l’univers a une intensité de champ caractéristique, qui n’est pas un nombre abstrait et statique, mais un sentiment dynamique ! Alors nous pouvons comprendre que ce C14 n’est rien d’autre que ce que nous appelons l’amour inconditionnel.

La création se produit d’abord au niveau fondamental et ensuite, par le ralentissement des champs magnétiques, ils se manifestent au niveau matériel. Comme le temps et l’espace sont des caractéristiques du plan matériel, on dirait que le plasma fondamental du Créateur se divise en d’autres plasmas fondamentaux qui amorcent la création de la chaîne sans fin d’événements plasmatiques fondamentaux. On dirait qu’il y a eu un point initial de création – mais seulement dans un cadre de l’espace et du temps.

Mais au niveau du plasma, il n’y a ni temps ni espace, tout se passe pour ainsi dire en même temps ; et au moment où le Créateur a créé la création, il fut également lui-même. Le Créateur est la création, et la création est le Créateur. Hélène Laporte nous dit que nous sommes « de vrais morceaux d’amour qui nagent dans une soupe d’amour ». Et cette soupe d’amour est dynamique et s’épanouit – elle est le désir de créer.

Et le Créateur n’a jamais été seul. Oublie le mythe selon lequel il a créé le ciel et la terre, puis les océans et la terre ferme, puis les plantes et les animaux, et enfin l’homme ! C’est de la foutaise. Nous, les humains, faisons partie du Créateur, nous sommes ses yeux et ses mains. Toute la création est donc une merveilleuse co-création entre le Créateur et nous. Nous sommes autant dans le Créateur et faisons partie de lui que le Créateur est en nous.

Le changement de paradigme

Pour que les choses soient encore plus claires : Dans le voyage spatial par l’Âme, il ne s’agit plus de se rendre d’un endroit à un autre – mais du processus de la création. Lorsque nous effectuons un voyage par l’Âme, nous nous créons nous-mêmes en tant que « passagers », nous créons la « destination » et nous créons l’environnement dans lequel elle se matérialise. C’est le plus grand changement de paradigme que l’humanité ait jamais connu !

Pour faciliter ce pas évolutif, le KFSSI développe un nouveau système de vol « dont la simplicité choquera les générations futures de scientifiques » (MT Keshe). Avec les nouveaux appareils, nous ne nous poserons plus la question « qu’est-ce que l’appareil fait pour moi », mais nous explorerons et expérimenterons « ce que nous pouvons faire ». « Pour utiliser les nouveaux systèmes de vol, nous devons nous mettre au niveau du Créateur. Les nouveaux appareils de vol te donnent la connaissance du Créateur. Tu l’assimiles, tu le comprends, et ce faisant, tu ouvres une nouvelle dimension d’existence pour toute l’humanité ». MT Keshe

Peut-être que la « simplicité » dont parle M. Keshe est le simple espace d’amour dans lequel le Créateur crée. Lorsque nous entrons dans l’espace de l’amour, nous nageons dans l’océan de l’amour, nous voyons alors ce que le Créateur voit, nous ressentons ce que le Créateur ressent et nous pouvons créer comme lui.

Et la manière dont les nouveaux systèmes de vol sont offerts à tous de manière égale produit le même effet créatif propre à la création du Créateur : d’autres scientifiques comprendront les principes et développeront les systèmes – parce qu’ils sont vivants et dynamiques. De cette façon, les unités universelles appartiendront à toute l’humanité !


Fin d’un autre débat éternel

Qui est arrivé en premier, le corps ou l’âme ?

Pendant que nous y sommes, il y a un autre débat éternel en science et en théologie sur le moment où un embryon a une Âme et doit être considéré comme un être humain vivant. Dans de nombreuses législations, l’avortement pendant les trois premiers mois de la grossesse ne pose pas de problème. Car on a décidé qu’avant ces trois mois, le bébé n’a pas d’âme…

Dans le judaïsme mosaïque, à l’origine du christianisme et de l’islam, il n’y a même pas d’Âme dans le sens propre, mais seulement le souffle de Dieu qui donne la vie et qui fait d’un morceau d’argile une chose qui bouge. Et cette pseudo-âme disparaît à la mort de l’homme.

Notre (in)conscience collective est pleine de ces croyances non constructives, car si les gens croient qu’il n’y a pas d’Âme, ils ne comprendront jamais qu’ils font partie du Créateur – et les prêtres et les politiciens pourront les exploiter éternellement.

Les enfants de Mithra

La science du plasma nous enseigne cependant quelque chose de très différent : la conception est une merveilleuse cocréation entre les parents et le Créateur. Une nouvelle Âme est créée, qui décide ensuite elle-même (avec le Créateur) du moment et des conditions de son incarnation. Et ensuite, les enfants de Mithra restent éternellement connectés à l’Âme et au Créateur ; ils se nourrissent directement des énergies universelles et peuvent suspendre et recréer leurs corps à volonté – et leurs corps sont toujours en parfaite santé.

Nous sommes en mesure d’engendrer nos enfants par l’intermédiaire de notre Âme dès que nous avons pleinement compris la connaissance du Créateur, qui nous est maintenant transmise par MT Keshe, Grigori Grabovoï et d’autres. Selon M. Keshe, il faudra encore 2 à 3 générations (entre 2072 et 2097) avant que la conception par l’Âme soit devenue normale. Le changement ne se fera pas du jour au lendemain, car la modification de la conscience collective peut prendre du temps. Cependant, grâce à l’utilisation des unités d’amélioration, les parents seront en mesure d’engendrer immédiatement un enfant au niveau de l’Âme.

Lorsqu’un enfant est conçu, il a les souvenirs de son père et de sa mère, car il est lié à eux pour toujours. Mais c’est aussi une nouvelle Âme indépendante, livrée à elle-même. Les enfants de Mithra se souviendront également de la création de leur propre Âme, ce qui est probablement beaucoup plus important pour eux que les souvenirs de leurs ancêtres. Ils s’identifieront naturellement à leur Âme et non à leur personnalité.

Pour qui te prends-tu ?

Tout cela renvoie à ce à quoi nous nous identifions, à qui nous pensons être. Habituellement, nous nous identifions à notre personnalité. Et ce que nous appelons personnalité est désigné dans la science du plasma comme l’âme de la forme physique. L’âme de la forme physique est l’âme collective de tous les microsystèmes de notre corps, de nos organes, cellules et parties du corps. Mais elle contient également tous les micro-organismes de notre intestin, les bactéries, les virus, etc. Notre mental les exclut généralement de notre identité, avec tous les microsystèmes que nous absorbons dans notre corps lorsque nous respirons et mangeons.

Construire notre identité sur la base de notre corps physique ou de notre mental est assez problématique ; cela a été largement étudié par les bouddhistes tibétains. Voici un exemple de leur raisonnement concernant notre identification à notre corps physique :

« Tu dis donc que tu es ton corps ».

« Oui »

« Comment fais-tu pour garder ton corps en vie ? »

« Eh bien, je mange et je bois. Le sandwich que je mange et le jus d’orange que je bois, ils maintiennent mon corps en vie ; ils deviennent les cellules et l’énergie de mon corps ».

« Mais ces substances viennent de l’extérieur, elles ne sont pas toi. Ensuite, tu les ingères et elles deviennent peu à peu partie intégrante de ton corps. Peux-tu dire exactement comment et quand elles deviennent toi » ?

Un autre exemple de la difficulté de nous identifier à notre corps se trouve dans la sagesse des Amérindiens :

« Si je perds un bras ou une jambe, je continue à vivre. Si je perds la moitié de mes poumons ou de mon estomac, je continue à vivre. Si je n’ai pas d’air, d’eau ou de soleil – je meurs. Qu’est-ce donc qu’une partie essentielle de moi ? »!

Compte tenu du fait que nous sommes constitués d’un nombre presque infini de microsystèmes qui forment le macro-système de notre corps et d’un nombre encore plus infini de microsystèmes étrangers au corps, nous devons en fait admettre que nous ne sommes pas un, mais une multitude. Et si nous continuons à réfléchir dans cette direction et que nous réalisons que nous sommes reliés à tous les éléments de l’univers et au Créateur, nous devons admettre que nous ne sommes pas un seul individu, mais que NOUS sommes TOUT.

La même vision s’offre à nous si nous regardons dans l’autre direction, le macro-système de l’humanité, dont nous sommes un microsystème. Ici aussi, nous faisons partie d’une multitude. Et quand nous disons foule, nous ne parlons pas de quelques centaines ou de quelques milliers de personnes, mais d’un nombre pratiquement infini.


Mes amis pensent que je suis fou

Il est amusant de constater que quelqu’un a posé à M. Keshe la même question que celle dont nous avons parlé dans la dernière multiplication !

C’est Jefferson du Brésil qui demande : « Depuis que j’ai beaucoup appris et parlé de la recherche sur le plasma, de nombreux membres de ma famille ne me parlent plus et m’évitent. Que puis-je faire pour élever leur âme, car je les aime tellement et je veux vraiment les aider ».

Il y a trois choses essentielles à considérer. Et ces trois choses sont liées entre elles :

  1. La patience
    Chaque personne se développe à son propre rythme – chacun d’entre nous n’est probablement pas né avec toute la connaissance du plasma et il nous a fallu un certain temps pour nous y éveiller. Si, à l’époque où nous n’avions pas encore les connaissances que nous avons maintenant, quelqu’un avait essayé de nous convaincre de cette nouvelle science, nous aurions très probablement réagi négativement aussi – car personne n’aime être convaincu, n’est-ce pas ?
    Et le KFSSI raccourcit le temps où il faudra patienter en travaillant sans relâche pour faire connaître la science des plasmas dans le monde entier, pour en faire un courant dominant, pour créer une conscience internationale à son sujet. Comme le dit M. Keshe :
    « Très bientôt, ils viendront vous voir, ils vous admireront parce que vous êtes déjà avancés dans la nouvelle science ». Et comme le disait Gandhi : « D’abord ils vous ignorent, puis ils rient de vous, puis ils vous combattent, puis vous gagnez ». En ce moment, nous en sommes à la dernière phase, juste avant que la recherche sur le plasma ne devienne une mode. Il est intéressant de noter que le roi/gouvernement belge a soudoyé Fox News à coups de millions d’euros depuis 2012 pour qu’elle bannisse de toutes ses chaînes tout ce qui a trait à « Keshe ».
  2. La loi universelle selon laquelle chaque être est absolument libre.
    Cela signifie que même le Créateur, qui est amour, ne veut et ne peut forcer personne. Comme il est amour inconditionnel, il veut le meilleur pour chacun. C’est pourquoi il offre son aide. Mais Il respecte absolument la volonté de chacun. Si Son aide est refusée, Il sera « triste », mais continuera patiemment à offrir Son aide.
  3. Nous sommes Un au niveau de l’Âme.
    « Je donne librement de mon Âme à ton Âme – prends ce dont tu as besoin ». Cela n’annule pas le libre arbitre, car l’homme doit écouter son Âme, mais cela renforce la petite voix de l’Âme et lui donne ainsi plus d’occasions d’être entendue.

Et bien sûr, le fait que nous vivions dans un univers de perception joue un rôle très important. Plus nous élevons les âmes, plus nous influençons la conscience collective de manière positive – ce qui conduit bien sûr à un changement de notre réalité.

Donc : « N’essayez jamais de convaincre, c’est une perte de temps – attendez qu’ils viennent frapper à la porte de votre maison. » MT Keshe


La physiologie de la mort

Nous avons appris que l’Âme est contenue par l’âme de la forme physique, qui utilise la circulation sanguine dans le cerveau et autour de celui-ci pour créer une cage. Cette cage a deux fonctions : l’une est de maintenir l’Âme dans le corps, de garder l’Âme connectée au corps, et l’autre est de la dominer. En d’autres termes, le mental (l’âme de la forme physique) utilise la fonction essentielle de contenance de l’Âme pour en faire une prison.

Or, lorsqu’une personne vieillit, sa circulation sanguine s’affaiblit et devient plus irrégulière, ce qui a bien sûr des répercussions sur cette contenance. C’est le rapport de force entre l’Âme et la circulation sanguine qui crée cette dernière. Ainsi, lorsque la force du champ de la circulation sanguine devient relativement plus faible, la force du champ de l’Âme devient proportionnellement plus forte ; jusqu’à un point où la cage ne peut plus contenir l’Âme. Et c’est le moment où l’Âme se sépare de la forme physique – ou ce que nous appelons la mort.

Nous pouvons comparer le lien entre l’Âme et le corps à un boyau en caoutchouc. À travers de lui, l’Âme fournit de l’énergie à la forme physique. Une partie de cette énergie est utilisée pour maintenir la contenance. Alors chaque résistance du mental à l’Âme exerce une tension de plus en plus forte sur le boyau de caoutchouc, et celui-ci s’étire et s’amincit. En conséquence, le flux d’énergie qui maintient la cage s’affaiblit. Et lorsque cette énergie a diminué en deçà d’un certain seuil, la contenance s’effondre et l’Âme se sépare du corps.

Ce processus peut être accéléré par le fait que l’âme de la forme physique, lorsqu’elle se rend compte que la contenance s’affaiblit, donne plus de sa propre énergie à l’Âme.

Et après la séparation, si l’homme a mené une bonne vie, l’âme s’élève comme une étoile filante, la graine d’une nouvelle création – pas forcément dans le corps d’un homme, mais dans une autre dimension, sous la forme d’une étoile, d’une galaxie ou même d’un univers entier.

« J’ai créé l’homme à mon image, car avec lui je deviens homme, je deviens création et j’étends ma forme physique pour toujours au-delà de toute limite. Et c’est là le secret de la vie ». MT Keshe


Comprendre la mort

Commençons par l’exemple de l’abattage des animaux pour notre alimentation. Un taureau est abattu en Australie, découpé en morceaux, congelé et expédié dans différentes parties du monde. Tout cela se passe au niveau de la matière.

D’autre part, nous savons que lorsque l’Âme crée un corps, chaque organe et chaque cellule du corps construit l’âme collective, l’âme de la forme physique. De cette manière, tous les éléments ou microsystèmes du corps restent connectés à l’âme d’origine. Ainsi, lorsque nous mangeons le steak aux États-Unis ou le goulasch en Pologne et que nous donnons un os à notre chien en Allemagne, nous sommes reliés à l’âme d’origine de chaque partie du corps de l’animal. Et la même chose se produit bien sûr lorsque nous mangeons des plantes.

Mais qu’est-ce que cela fait de nous ?

Au niveau énergétique, nous absorbons la peur et la souffrance de l’animal et elles deviennent une partie de nous. Et de la même manière, nous ajoutons nos propres tourments à l’âme de l’humanité, de l’univers et du Créateur lorsque nous mourons. Tout cela se passe bien sûr au niveau de la perception – le niveau fondamental n’en est pas affecté. Mais comme la réalité dans laquelle nous vivons dépend de la perception que nous en avons ; et comme notre perception dépend des croyances enregistrées dans l’(in)conscience collective – prendre la vie pour se nourrir maintient un monde de souffrance pour nous-mêmes.

Pourtant, ni l’Âme ni le Créateur n’en souffrent eux-mêmes, mais leur compassion fait qu’ils ressentent avec nous – tout comme une mère est touchée par la souffrance de son enfant.

Nous pourrions appeler cela la « pollution spirituelle ». Lorsque nous sommes spirituellement négligents, nous nous comportons en fait comme des personnes qui font un pique-nique dans un beau parc ou au bord de la mer et qui laissent un tas de déchets en attendant que quelqu’un d’autre nettoie derrière eux. En tant que personnes conscientes de l’écologie, nous agissons de manière responsable sur le plan matériel ; mais maintenant, nous devons monter d’un cran sur l’échelle de l’évolution et cultiver la même attitude sur le plan spirituel et énergétique. Nous apprenons maintenant comment prendre soin de la planète et de l’humanité à tous les niveaux, au-delà de la matière !

Nous pouvons nous faciliter la tâche

Voici ce que les bouddhistes expliquent au sujet de notre mort : lorsque nous quittons notre corps, celui-ci commence à se composter, puis notre mental se dissout également avec tous nos souvenirs et les abandonne dans le courant mental. Ici, ils restent détachés de notre personnalité ; mais chacun d’entre eux a sa propre intensité de champ caractéristique.

Lorsqu’un nouvel être naît, il possède également une certaine gamme d’intensités de champs. Et certains des champs du courant mental à l’intérieur de cette gamme sont attirés. Ils font ainsi partie d’une valise remplie de souvenirs ou de thèmes similaires. Plus les souvenirs du courant mental sont canalisés dans la valise, plus le thème devient fort. Plus il devient fort, plus il attire de « semblables ».

Cette valise n’est pas personnelle à l’origine. Mais elle devient personnelle parce que les parents, la famille, les enseignants, etc. vont insister sur le fait que tous ces souvenirs font partie de la personnalité de l’enfant.

En outre, plus nous attirons de champs négatifs et incohérents, plus notre conscience devient incohérente et dispersée. Plus nous portons de bagages, plus nous aurons besoin de temps et d’efforts pour structurer notre conscience et ressentir notre unité avec toute l’humanité. C’est pourquoi, en fin de compte, il s’agit là aussi d’une question de détachement. Si nous ne prenons pas les souvenirs personnellement, notre propre valise est vide ; et il est beaucoup plus facile pour nous de gérer les « souvenirs de quelqu’un d’autre ». Donc, si nous devenons plus curieux et plus responsables à tous les niveaux de l’être, nous pouvons effectivement nous rendre cette étape de l’évolution de plus en plus facile !

Mais n’oublions pas que ce que nous proposons ici n’est PAS un nouveau commandement à la Moïse. Il s’agit plutôt d’attirer notre attention sur la question suivante : « Comment puis-je devenir un être aimant qui sert et qui n’a pas besoin d’être servi ? » Et bien sûr, nous trouvons une aide supplémentaire dans l’acquisition de la connaissance du Créateur. Car plus nous comprenons la création, plus nous changerons NATURELLEMENT de comportement : nous ne polluons pas la plage parce que nous aimons un environnement intact pour nous-mêmes et pour tous les autres. Et de la même manière, nous ne polluons pas notre perception de la réalité parce que nous voulons nous voir vivre au paradis, nous et tous les autres êtres !

La balle est toujours dans notre camp

Avec cette connaissance, nous devenons donc responsables de ce que nous portons et transmettons à la conscience collective, car cela va contribuer à déterminer notre perception collective de la réalité et au niveau personnel également. Tout nous revient. D’une certaine manière, cet enseignement nous donne l’explication scientifique de la loi du karma bouddhiste – tout ce que nous pensons, disons et faisons nous revient ! C’est la raison pour laquelle M. Keshe insiste tant sur le fait de « bien penser, bien parler et bien agir » ; car nous pouvons dire que le but le plus profond de notre vie est d’être utile au bien global, de vivre pleinement le principe d’homéostasie.

Ainsi, chaque fois que nous nous souvenons, nous pouvons examiner nos pensées, nos paroles et nos actions pour voir si elles sont vraiment utiles au tout, à l’élévation de toutes les âmes. C’est un processus de prise de conscience, un processus d’observation : « Oh, je suis heureux de pouvoir observer en ce moment même que j’ai été capable de maintenir l’attitude qui consiste à faire tout ce que je peux pour le bien commun – ou pas ». La clé est de simplement observer, sans aucune implication émotionnelle, sans aucun jugement – les bouddhistes tibétains appellent cela le tracking.

Nous devenons plus vivants et plus présents lorsque nous ne suivons pas des commandements – des règles de comportement statiques – mais que nous sentons dans chaque situation ce qui serait la plus belle et la meilleure façon d’agir !

« J’AI CRÉÉ L’HOMME À MON IMAGE. J’AI CRÉÉ L’HOMME COMME LA TOTALITÉ DU CHANGEMENT QUI SE PRODUIT EN CE MOMENT MÊME ! »

Nous comprenons maintenant qu’il n’y a pas de mort au sens d’une fin définitive. Il y a de nombreux points de transition dans notre vie. D’une certaine manière, cela indique une continuité de ce que nous appelons le « soi » – mais ce « soi » n’est pas notre personnalité et ne peut pas l’être, car notre seule continuité est celle de l’Âme !

Et si nous laissons mourir la corporalité, nous laissons bien sûr derrière nous un tas de compost chargé de toutes sortes de toxines environnementales comme les métaux lourds et autres. C’est pourquoi la justification moderne de la création de cimetières est de limiter la pollution de l’environnement par nos corps morts à une certaine zone.

En suivant ce raisonnement, il sera plus responsable de récupérer notre éternité dans notre corps physique, ce qui permettra non seulement d’éviter tous les effets négatifs de nos cadavres sur l’environnement, mais, plus important encore, nous serons bien plus utiles à l’évolution de l’humanité et du Créateur si nous ne mourons pas, si nous ne tombons plus dans le piège de la « grande erreur » !

« Le seul cimetière qui reste à l’homme devrait être le souvenir des autres qui ont été en contact avec lui. Et rien de plus, rien de moins ». MT Keshe


La vérité sur la résurrection

Grandir dans le détachement

La connaissance du Créateur n’est pas un ensemble d’informations qu’il suffit de nous transmettre pour que nous nous souvenions de la sagesse et des pouvoirs que nous sommes destinés à utiliser depuis toujours. Le travail pour nous commence juste après la réception de la connaissance – lorsque nous devons l’intégrer dans notre système et dans notre vie quotidienne. La connaissance doit devenir une partie de nous-mêmes, comme le sang qui coule dans nos veines.

Une partie importante de ce processus d’assimilation est le déplacement de l’identité : dès que nous comprendrons vraiment notre création et notre identité avec le Créateur via notre Âme, nous connaîtrons tous un changement de l’identification – nous nous détacherons naturellement de notre système corps-mental, également appelé notre personnalité. Et nous nous identifierons davantage à notre Âme à la place.

Au moment où nous atteindrons cet état, nous éprouverons une joie et une liberté que nous n’avons jamais ressenties auparavant !

Lorsque M. Keshe parle de détachement, il ne veut pas dire que nous renonçons au monde et à ses plaisirs matériels. Il ne veut pas non plus dire que nous devons renoncer au corps. En fait, il ne s’agit pas du tout d’un quelconque renoncement – il s’agit de laisser la connaissance du Créateur descendre si profondément dans notre être qu’elle nous transforme d’un corps-mental séparé en un être-Âme uni à son Créateur.

« Ce que je vous enseigne n’est pas théorique – c’est ce que j’ai moi-même traversé ». MT Keshe

À l’âge de 12 ans, Mehran Keshe a été capable de se détacher de sa forme physique ; d’observer simplement ce que son corps faisait tout au long de la journée et comment il vivait, pour ainsi dire, le script de l’Âme. Ce détachement est la capacité d’observer notre moi sans réagir automatiquement et inconsciemment parce que nous nous identifions à notre personnalité.

Nous connaissons les voies du corps, nous savons comment nous déplacer dans le monde matériel – il est maintenant temps de connaître les voies de l’Âme. Et le chemin de l’Âme, nous ne pouvons le parcourir que seuls, livrés à nous-mêmes. Il n’y a pas de messie ou de gourou pour nous prendre par la main. Une fois que nous avons commencé à suivre ce chemin, nous sommes déjà des messagers pour nos semblables, afin de les inviter à nous rejoindre et à « aller vers l’intérieur » également. C’est ce que font M. Keshe, M. Grabovoi, M. Osho, M. Tolle et tous les autres.

Quelle serait la bonne façon d’être un messager ? Quelle est la bonne façon d’aider les autres ? Nous entendons nos amis et nous-mêmes dire : « Oui, j’essaie de diffuser le message, de partager le savoir, mais souvent les gens ne veulent pas m’écouter, ils ne sont pas intéressés, ils ne sont pas ouverts, ils sont étroits d’esprit et fermés. Et je me retrouve alors en conflit avec eux et je perds le sentiment de solidarité, de proximité et d’unité ».

Oui, cela arrive très souvent. Le dalaï-lama nous montre une issue à ce dilemme : par rapport à l’éducation des enfants, il nous dit qu’il est utile de savoir que nos enfants n’écouteront pas nos paroles, mais la manière dont nous vivons. Ce ne sont pas nos paroles, mais notre exemple qui leur enseignera.

Nous savons également que les personnes qui nous ont rencontrés ne se souviendront très probablement pas de ce dont nous avons parlé ; elles se souviendront de ce qu’elles ont ressenti en notre présence. Et c’est précisément la clé. Nos multiplications ne consistent pas à répéter les paroles de M. Keshe et de M. Grabovoï. Notre enseignement est la lumière que nous diffusons dans le cœur des personnes que nous rencontrons.

Même le Créateur n’impose rien à personne. Il est simplement là. Et sa présence, si nous y sommes ouverts, nous incitera à nous rapprocher de Lui et à apprendre par le ressenti et la transmission directe d’Âme à Âme. La manière la plus simple et la seule efficace d’accroître la connaissance n’est donc pas de devenir des gourous du blabla, mais de rayonner la lumière que nous avons reçue et qui a changé notre vie.

Nous rayonnerons alors comme un soleil, uniformément sur chacun dans l’univers, et nous ne nous soucierons plus de savoir si notre lumière est reçue ou non !

Une nouvelle vision de Pâques

Dans les religions chrétiennes, nous célébrons Pâques cette semaine. La signification conventionnelle est que le M. Jésus est mort sur la croix pour racheter nos péchés. Mais ce n’était pas son intention. Monsieur Jésus voulait nous montrer que vivre uniquement au niveau de la matière conduit inévitablement à la mort. En revanche, si nous avons la connaissance du Créateur, nous pouvons quitter le corps et ressusciter de la croix en tant que l’Âme que nous sommes. Pour cela, nous devons aller à l’intérieur, à l’endroit où vit notre Âme, et à partir de là, nous pouvons tout faire sans être contraints à quoi que ce soit sur le plan matériel !

Le M. Jésus nous a en quelque sorte montré la transmutation du plan matériel vers l’Âme, créant le champ magnétique d’un nouveau corps, puis revenant au plan matériel – et tout cela sans aucun effort, seulement dans la gratitude que ce chemin est totalement disponible pour nous.

Jusqu’à présent, nous ne pouvions apprendre cela que par le mysticisme, mais maintenant – grâce à la Science du Plasma et à la Science de l’Eden – nous pouvons l’apprendre de manière scientifique. Cela correspond beaucoup mieux à notre état d’esprit moderne. Maintenant, nous commençons à comprendre que nous pouvons être ce Monsieur Jésus et que nous pouvons nous ressusciter nous-mêmes.

Et nous le faisons déjà lorsque nous rêvons. Nous nous endormons en tant que notre système corps-mental habituel et, au sein du rêve, nous avons un autre corps et nous nous trouvons dans une autre situation. Nous vivons des expériences et lorsque nous nous réveillons, la situation et le corps changent à nouveau. Les transitions sont immédiates, sans douleur et sans effort. Lorsque nous comprenons le processus du rêve, nous apprenons que rêver est en fait le processus de transmutation du plan physique au plan de l’Âme et inversement. Nous le faisons déjà chaque nuit, mais nous n’en étions pas conscients.


Le nouveau Messie arrive

Dans l’islam, il est appelé Mahdi.

00Wikipédia l’explique ainsi : le Mahdi (arabe : ٱلْمَهْدِيّ, romanisé : al-Mahdī, littéralement : « le guidé ») est une figure messianique eschatologique dans l’islam, dont on croit qu’elle apparaîtra à la fin des temps pour libérer le monde du mal et de l’injustice. Il doit apparaître aux côtés du prophète ʿĪsā (Jésus) et établir le royaume divin de Dieu sur terre.

Cette année, l’arrivée du nouveau Messie est annoncée par les religions islamique et juive. En accord avec les croyances infondées de l’inconscient collectif, tout le monde attend désormais l’apparition d’une autre personne miraculeusement puissante, le Messie.

Et il ne vient pas.

Il ne vient pas parce qu’il a changé d’avis – il ne vient pas comme nous le pensons : le nouveau Messie n’est pas un héros isolé, mais l’humanité toute entière. Le nouveau Messie, c’est chacun d’entre nous. Nous pouvons même probablement dire que le Créateur n’envoie pas de messager cette fois-ci, car il a décidé de venir lui-même ! Ce que nous appelons le Créateur, c’est l’humanité. Et en tant qu’humanité, nous sommes père-mère de tous les autres êtres de cette merveilleuse planète et au-delà.

Et dès que cette compréhension s’installe en nous, nous voyons que chacun d’entre nous peut devenir un autre univers. Comme nous sommes les co-créateurs, les nouveaux univers seront notre incarnation.

La nouvelle humanité changera l'(in)conscience collective en jetant dehors tous les déchets religieux du passé et en les remplaçant par la vraie connaissance. Et dans la foulée, notre perception de la réalité dans laquelle nous vivons changera également – et nous pourrons enfin voir le paradis dans lequel nous avons toujours vécu !

Et bien sûr, ce nouveau Messie ne peut pas être sacrifié et mis à mort sur la croix. Il ne peut pas non plus être utilisé comme rocher pour y construire une autre église.

Une autre pièce du puzzle

Quand nous pensons à la paix, nous pensons à la fin des guerres entre les nations, etc. Mais comme pour toutes les choses de la réalité dans laquelle nous vivons, il ne s’agit pas seulement de l’extérieur – mais de l’intérieur. La cause de toutes les guerres et de tous les conflits se trouve à l’intérieur de nous : le conflit entre le mental et l’Âme ; la séparation de la forme physique et de l’Âme. « Le mehdi, le messager, c’est donc en réalité TOI. Personne ne peut te l’enseigner, tu dois le trouver toi-même. Comme je l’ai déjà dit, je peux conduire le cheval à l’eau, mais je ne peux pas le forcer à boire. Tu dois avoir soif ; et la soif doit venir de ton intérieur ! » MT Keshe

Et bien sûr, puisque nous sommes connectés à tout et à tous dans tous les univers, atteindre l’illumination pour nous-mêmes élèvera également tout et tous dans tous les univers. En ce sens, nous devenons les messagers pour tous les mondes – Mais ne te préoccupe pas de cela 😇.

Nous grandissons au-delà des « améliorateurs de monde ».

Jusqu’à présent, nous étions de « bonnes personnes » lorsque nous allions chaque dimanche à l’église, au temple, à la mosquée ou à la synagogue, ou lorsque nous faisions l’aumône à un mendiant. Tout cela se passe au niveau matériel. Et c’est bien si c’est sincère.

Mais maintenant, nous avons la possibilité et la responsabilité de dépasser le niveau matériel : cette étape de l’évolution nous demande d’étendre notre attention et nos intentions au-delà du niveau physique et d’agir principalement depuis notre Âme sur le plan universel. Pour le bien de tous :

« Je donne librement de mon âme à toutes les âmes vivantes. Prenez ce dont vous avez besoin. Je suis présent ».

Maintenant que nous faisons partie de la Communauté Universelle, nous pouvons donner à ce niveau et nous sommes désormais reliés à toutes les Âmes de la Communauté Universelle – notre rayon d’action s’est donc beaucoup élargi !

Et avec notre rayon élargi, nous devenons nous-mêmes plus grands à mesure que nous nous rapprochons de notre position naturelle aux côtés du Créateur. Nous devenons des étoiles brillantes de lumière informationnelle, nous brillons et co-créons des mondes magnifiques. Nous incarnons le Créateur :

« Il est clair que le Créateur est un être humain, car il a créé l’être humain. Par conséquent, la manifestation maximale et véritablement salutaire du Créateur est sa propre personnification en tant qu’être humain et sa vie en tant qu’être humain. De cette façon, le Créateur peut transmettre la connaissance à tous, comme un homme à un autre. »

Grigori Grabovoï

Autrefois, nous donnions quelques centimes à un mendiant en pensant : « Maintenant que j’ai donné, je peux recevoir davantage ». Mais maintenant, nous découvrons que nous pouvons normaliser la réalité, de sorte que le phénomène des mendiants devient impossible.

Au-delà de l’espace

Les Universal Enhancement Units n’ont pas été conçues pour guérir une quelconque maladie ou pour nous permettre de nous déplacer plus facilement d’un endroit à un autre – elles nous aident à évoluer vers la compréhension intérieure que chacun d’entre nous fait avant tout partie de l’humanité et que notre mission est d’être le corps du Créateur.

Nous n’avons donc plus pour mission de conquérir l’univers, mais d’utiliser la force de notre propre Âme ! Il ne s’agit pas d’aller sur la lune ou sur la planète Zeus – il s’agit seulement d’aller dans notre propre Âme.


Qui est le créateur – la dernière partie ?

Grigori Grabovoï écrit dans son livre sur la résurrection à la page 264 :

« Il est clair que le Créateur est un homme, car il a créé l’homme. Par conséquent, la manifestation maximale et véritablement salutaire du Créateur est sa propre personnification en tant qu’homme et sa vie en tant qu’homme. De cette façon, le Créateur peut transmettre la connaissance à tous, comme d’un homme à un autre ».


Liaisons covalentes Partie 2

M. Keshe a commencé l’atelier par une question : « Nous savons maintenant que notre Âme crée des liens covalents avec tous les autres éléments de l’univers, le ressens-tu ? Par exemple, quand tu te promènes dans la forêt, sens-tu les échanges que tu as avec tous les arbres, les animaux et les plantes ? ».

Maintenant que nous avons rationnellement compris la connaissance de l’interconnexion universelle de tous les éléments, nous devons la compléter dans et avec notre corps émotionnel. Ce n’est qu’alors que nous pourrons affirmer que nous l’avons correctement intégré. Lorsque nous nous trouvons dans la nature, notre corps et notre Âme se connectent immédiatement à tout et commencent à interagir – alors que notre mental s’égare dans les centres commerciaux et à la télévision. Mais si nous parvenons à détourner consciemment notre attention des obsessions du mental pour la porter sur le moment présent, nous sentons immédiatement comment la nature, qui est toujours à la norme, nous nourrit et nous élève. Ces sentiments sont la manifestation de l’interaction entre notre système et les éléments et événements qui nous entourent. Dans la nature, la lumière informationnelle est plus forte et cela nous ouvre à donner plus pour recevoir plus.

C’est une raison supplémentaire d’élargir notre conscience quotidienne au niveau émotionnel. Pour cela, il nous suffit de nous rappeler – aussi souvent que possible au cours de la journée – de porter notre attention sur ce point et d’essayer de ressentir les liens et les interactions que nous avons avec les éléments et les événements qui nous entourent.

Et les Unités d’Amélioration déclenchent le même processus. Elles diffusent également plus de lumière informationnelle sur notre mental, ce qui le rapproche immédiatement de l’Âme – ainsi nous nous ouvrons et donnons plus pour recevoir plus. Nous sommes ainsi plus proches du Créateur. Les Unités d’Amélioration nous aident par cela à nous souvenir de ce que nous avons oublié au cours des 8000 dernières années.

Dès que le mental entre en contact étroit avec l’Âme, il commence à corriger tout ce qui se trouve dans son passé. Un processus continu de normalisation en synchronicité avec l’Ame se met en place.

Tu as certainement rencontré le même effet dans les romans, où le méchant tombe tellement amoureux de la gentille fille qu’il change toutes ses mauvaises habitudes. Il voit alors soudain qu’il n’a plus besoin de jouer au dur pour attirer l’attention ou de commettre des crimes pour obtenir les ressources dont il a besoin.

Nous pouvons également faire l’expérience de la force des liens covalents lorsque, par exemple, nous nageons dans la mer et voyons un banc de poissons. Tu t’es certainement déjà demandé pourquoi ils ne se touchent jamais ou n’entrent pas en collision les uns avec les autres, mais se déplacent comme un seul grand poisson ? Nous pourrions tester notre propre compréhension des liens covalents en présence d’un banc de poissons ou d’oiseaux : si le banc s’éloigne de nous, cela signifie que nous ne sommes pas en synchronicité avec eux, mais s’ils restent et nous font participer à leur mouvement, nous sommes devenus « un poisson dans l’eau » ; connectés en synchronicité, nous partageons les ressources et l’environnement avec eux. Au niveau du plasma, cela signifie que nous pouvons générer la force du champ des poissons et prendre la position du plasma le plus faible en demandant à être acceptés comme faisant partie d’eux.

« Vous êtes tellement occupés à absorber la connaissance que vous ne prenez pas le temps de l’assimiler ». MT Keshe.


La vie est Amour

Nous savons que tout dans l’univers a été créé par une impulsion d’amour. Si nous voulions maintenant changer ou créer quelque chose dans l’univers, comment pourrions-nous le faire ? De toute évidence, en utilisant la même méthode que le Créateur – l’AMOUR.

Il a tout créé avec une pensée qu’il a verbalisée, lui donnant ainsi la première forme matérielle, une direction pour la matérialisation en tant qu’élément sur le plan physique. Les pensées du Créateur sont les mêmes que les nôtres, mais elles sont plus puissantes, ce sont des Bio-signaux qui se condensent instantanément en un événement matériel. Il est bien plus exact d’associer les Bio-signaux aux sentiments et aux émotions qu’aux pensées, car ils peuvent traiter une quantité d’informations bien plus importante que les pensées rationnelles.

C’est pourquoi les émotions sont d’une importance fondamentale. Et toutes les émotions ne sont pas égales ; comme nous l’avons montré dans la dernière newsletter, les émotions positives sont des processeurs d’informations beaucoup plus puissants que les émotions négatives – l’amour étant la structure la plus élevée et la plus efficace. Elle est capable de traiter 10-17 fois/seconde toutes les informations contenues dans tous les univers.

Ce n’est donc vraiment pas un hasard si, en ce moment, toutes les initiatives citoyennes qui tentent de défendre notre liberté au niveau de la matière se basent sur l’amour. Il semble que nous ayons appris collectivement qu’il n’est pas urgent de « stopper tel ou tel gouvernement » ou de « se lever et se battre pour nos droits » – la véritable urgence est de nous rappeler QUI NOUS SOMMES VRAIMENT. Comme nous le dit Hélène Laporte de la Science d’Eden : « Nous sommes de véritables morceaux d’amour qui se baignent dans un océan d’amour ». Au moment où nous nous souvenons et restons connectés à l’amour, la non-lumière qui voulait prendre le contrôle du monde perd tout et disparait. Au niveau fondamental, ils ont déjà perdu depuis longtemps…

Les liens covalents

Nous, les humains, ne sommes pas seulement des êtres sociaux, nous faisons avant tout partie du collectif « humanité ». Nous ne sommes pas seulement constamment reliés les uns aux autres, mais aussi à notre Âme collective d’humanité. Et ces connexions ou liens sont tissé de l’amour. Pour cela nous en avons un exemple en chimie – cela s’appelle une liaison covalente.

Wikipedia explique : « Une liaison covalente est une liaison chimique dans laquelle des paires d’électrons sont partagées entre des atomes. (1) Ces paires d’électrons sont connues sous le nom de paires partagées ou paires de liaison, et l’équilibre stable des forces d’attraction et de répulsion (2) entre les atomes lorsqu’ils partagent des électrons est connu sous le nom de liaison covalente. Dans de nombreuses molécules, le partage d’électrons permet à chaque atome d’atteindre l’équivalent d’une coquille de valence complète, ce qui correspond à une configuration électronique stable (3). En chimie organique, les liaisons covalentes sont beaucoup plus fréquentes que les liaisons ioniques. (4)

  1. Les liaisons fortes résultent du partage de l’environnement et des ressources.

  2. Ce que la chimie voit comme un équilibre entre les forces d’attraction et de répulsion apparaît au niveau du plasma comme un équilibre entre les forces magnétiques et gravitationnelles.

  3. Le partage des ressources – donner et recevoir – conduit à une configuration stable. Tout dans la création aspire à la stabilité, car elle correspond à l’éternité, la caractéristique principale de la création.

  4. La chimie organique est la branche de la chimie qui s’occupe de la vie. Cela signifie que la vie est construite basée sur des liaisons covalentes. Chaque élément partage ses ressources, son environnement et le meilleur de lui-même avec les autres.

Mais pour que des liaisons covalentes se forment, nous avons besoin d’un apport d’énergie, d’intensité de champ ou de lumière informationnelle supplémentaire. Les atomes d’hydrogène et de carbone présents dans notre atmosphère ne se combinent pas spontanément pour former du CH4. Pour se combiner et former la nouvelle molécule de méthane, ils ont besoin d’un apport d’énergie supplémentaire. Il peut venir de processus biologiques (digestion anaérobie) au niveau de la matière ou de l’apport d’une intensité de champ magnétique plus élevée au niveau de la transition ou du fondamental.

Et c’est la quantité effective d’intensité de champ fournie qui détermine le niveau de matérialisation. « Est-ce que je te ferais fondre en augmentant l’amour (1) ou te réchaufferais en augmentant la température de la pièce (2) ? » MT Keshe

(1) L’intensité de champ la plus élevée déclenche un événement au niveau de l’Âme – l’Amour ; (2) des augmentations plus faibles conduisent à des matérialisations au niveau physique.

Les liens covalents sont une bonne métaphore des relations amoureuses, mais ils décrivent aussi très bien l’harmonie tant recherchée entre le mental/personnalité (l’âme de la forme physique) et l’Âme. « Ces deux entités coexistent et leur interaction conduit à la création de l’être humain ». MT Keshe

Lorsque nous comprenons cela, notre esprit peut enfin découvrir : « Wow, l’Âme et moi, nous partageons le même désir de profiter de ce beau monde en 3D et d’évoluer éternellement ! Nous voulons exactement la même chose dans la vie ! Alors pourquoi, au nom du ciel, devrais-je jamais lui résister ? »!

Il est presque superflu de dire que cette métaphore s’applique également à l’espace. Nous voulons visiter cette merveilleuse étoile lointaine, et nous savons que l’étoile a le même désir d’entrer en contact avec nous. C’est ainsi que se crée le lien covalent qui permet la réalisation de la rencontre.

Puissance du champ émotionnel

Les manifestations physiques résultent de l’interaction entre l’intensité du champ du désir du créateur et les champs de l’environnement (inertie). L’intensité du champ se réfère ici à la qualité des sentiments et des émotions sur lesquels nous portons notre attention.

  1. Si notre intensité de champ est trop faible (sentiments et émotions non constructifs 😟), il n’y a pas d’interaction et rien ne se passe.

  2. Si notre intensité de champ et nos émotions sont suffisamment fortes 😀, il y a une interaction avec l’environnement qui conduit à une manifestation au niveau de la matière, selon la gamme des possibles que permet l’environnement ou l’inertie donnée.

  3. Si notre force de champ et nos émotions sont encore plus fortes 😍, nous pouvons – pour ainsi dire – passer outre le champ de l’inertie et apparaître comme nous le souhaitons.

Virus Corona

Les liaisons covalentes peuvent également être appliquées à une meilleure compréhension du virus Corona et d’autres virus. Nous savons que les virus jouent un rôle important dans l’évolution de tous les éléments vivants de l’univers. Le virus Corona est donc apparu dès le début de notre stade d’évolution actuel. Et il s’est immédiatement lié de manière covalente avec nous, les humains. Le niveau d’interaction entre le virus et nous dépend très fortement de l’intensité du champ que nous pouvons lui offrir :

  • Une faible intensité de champ (émotions liées à la matière comme la peur 😟) positionne l’interaction au niveau de la matière – nous sommes infectés et apprenons le message « à la dure ».

  • Mais si nous pouvons atteindre une intensité de champ plus élevée (joie, paix et surtout amour😀 😍) qui établit la liaison covalente à un niveau élevé- nous pouvons recevoir son message sans avoir à entrer en contact avec le virus au niveau de la matière.