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Notre trinité

Nous avons appris que le siège de l’Âme se situe à l’intersection d’une ligne entre les deux oreilles et d’une autre qui va d’entre les sourcils à l’arrière inférieur de la tête.

L’âme de la forme physique est une structure dynamique qui englobe la totalité, elle n’a donc pas de siège fixe comme l’Âme. Cela semble également être la conséquence logique du fait que l’âme de la forme physique est l’âme collective de tous les éléments du corps.

D’ailleurs, Grigori Grabovoï nous fait sentir notre esprit divin comme une combinaison de plongé lumineuse qui épouse notre corps.

M. Keshe a comparé l’Âme au soleil ; l’âme de la forme physique au système solaire et toutes les planètes et lunes au corps.

Vacuité et détachement 3

Cet article est tiré de la dernière partie de l’enseignement de Geshe Michael sur YouTube: Le corps immortel : Instructions pour entrer dans un corps qui touche l’univers entier, deuxième partie.

Lorsque nous nous trouvons dans une situation difficile avec une autre personne, par exemple notre mari/femme qui nous crie dessus, nous devons toujours nous rappeler qu’il y a en fait deux maris/femmes en face de nous : l’un qui nous crie dessus « sans raison » et l’autre que nous percevons comme nous criant dessus parce que nous avons traité d’autres personnes avec méchanceté dans le passé.

Lorsque nous portons notre attention sur la première, la personne sans raison, nous allons réagir, nous défendre ou contre-attaquer, créant ainsi plus de combats et de cris dans nos vies futures. En revanche, lorsque nous dirigeons notre attention sur la seconde personne, nous nous rappelons que la scène désagréable dans laquelle nous nous trouvons provient de la façon dont nous avons traité les autres de façon désagréable dans le passé – nous ne réagissons donc pas ou ne ripostons pas et empêchons ainsi d’autres expériences désagréables à l’avenir.

Cela peut être utilisé comme une « bouée de sauvetage » : nous pouvons entraîner notre esprit à se rappeler de plus en plus que nous voulons vraiment traiter avec la deuxième personne et jamais avec la personne sans raison.

Les copieurs et les paresseux

M Keshe nous met très souvent en garde contre le fait de devenir des copieurs par paresse car ne pas faire confiance à nos propres pouvoirs, nous empêche d’évoluer, nous empêche de devenir ce que nous sommes destinés à être : la ressemblance du Créateur. Dans cette conversation entre Anastasia et Vladimir Megré, elle explique comment cette paresse nous rend dépendant des autres. D’abord elle nous rend service on trouvant les solutions à notre place et plus tard, elle nous ordonne ce que nous devons faire, dire et penser.

Le sujet de la conversation est que Vladimir a acheté son hectare de terre pour construire son domaine familial ; et il y a beaucoup d’autres personnes, à sa suite, qui ont également acheté des terres dans la même région. Il s’avère que la terre est stérile ; sous une faible couche de terre arable se trouve une énorme couche d’argile – la terre ne draine pas l’eau et rien ne peut y pousser. Vladimir, étant conscient des connaissances et la créativité d’Anastasia, se tourne vers elle pour qu’elle lui trouve une solution :

« Ce que tu demandes, Vladimir, peut être fait, mais, au lieu de faire un effort pour trouver la solution toi-même, tu essayes de me convaincre de trouver la solution pour toi.

Cela montre que tu n’as pas confiance en ton propre pouvoir. Un obstacle qui grandit lorsque tu me demande de trouver la solution à ta place.

Admettons que je trouve la solution et elle pourrait s’avérer très, très simple, alors ce serait une insulte pour toi. Tu penseras : « Pourquoi diable n’ai-je pas trouvé cela moi-même ? ». Tu te considères comme pas capable.

Tu t’es tourné vers moi, me voyant peut-être comme un être surhumain qui possède des pouvoirs inconnus de l’homme pour résoudre ton problème, mais je ne suis pas surhumain. A travers mes sentiments, je suis capable de prendre des informations de l’Univers et du Créateur sur tout… mais chaque personne est capable de faire la même chose, si elle ne se limite pas par le manque de confiance en ses propres pouvoirs.

Lorsque tu me demandes une solution que tu peux trouver toi-même, ta demande même renforce ta dépendance à l’égard des intermédiaires – experts, sages, politiciens, prêtres – des autorités quelconques.

Et je te le dis : la réponse ne peut pas se frayer un chemin à travers l’obstacle que tu as créé, et ton appel fervent à moi ne fait que le confirmer. Je ne résoudrai donc pas ton problème à ta place !

Lorsque notre Âme nous confronte à un problème, nous pouvons être absolument sûr que nous disposons de tous les outils et informations nécessaires pour le résoudre. En nous présentant un problème, notre Âme veut vous provoquer à évoluer en trouvant de nouvelles informations et de nouveaux outils ! »

Anastasia, Livre 10, p.132 et suivantes. Édité par Aviram.

Vacuité et détachement 2

Comment comprendre la vacuité de manière correcte et efficace

Dans le premier article sur la vacuité, nous avons appris qu’aucun élément de l’univers n’existe par lui-même, mais par et dans notre perception. La compréhension complète du vide ne nous est probablement pas accessible du jour au lendemain, c’est un processus d’apprentissage qui peut demander du temps et de la persévérance.

En d’autres termes, la vacuité est logiquement facile à comprendre, mais l’assimiler réellement et la laisser s’imprégner dans notre être prend du temps. Avec notre mental rationnel, nous pouvons facilement comprendre que chaque élément de l’univers est un écran sur lequel nous projetons ce que nous voyons. Et cette projection est si réelle qu’elle peut nous faire croire qu’il ne s’agit pas d’une projection, mais d’une réalité à part entière. C’est ce que les bouddhistes appellent la « réalité trompeuse« . Nous savons que nous avons bien compris le vide lorsque nous voyons vraiment tout comme une projection. Voici la loi universelle de la vacuité en action :

Chaque élément de la réalité est un écran sur lequel notre mental projette les images qui proviennent de la manière dont nous avons traité les êtres vivants dans le passé.

À ce moment-là, nous avons également atteint un détachement total, car nous ne sommes plus dupes de la réalité trompeuse !

Deux portes s’ouvrent alors à nous :

  1. Nous pouvons vérifier nos expériences ou nos perceptions afin de poursuivre la loi de la vacuité. Et bien sûr, c’est plus facile pour les expériences agréables que pour les expériences désagréables. C’est la voie de l’apprentissage ou de la recherche.
    Nous pouvons par exemple penser à une partie de notre corps que nous aimons ou que d’autres personnes qui nous aiment aime    nt ; et ensuite essayer de découvrir quel type d’action de notre part a créé ces parties.
  2. Et nous pouvons nous rappeler de plus en plus de traiter les êtres avec amour et attention, et ainsi faire en sorte que nous ayons plus d’expériences agréables. C’est la manière d’appliquer la loi de la vacuité pour rendre notre vie plus paisible et plus heureuse.

Le stylo

Imagine que je tiens un stylo dans ma main. Si je te montre le stylo et te demande ce que c’est, tu me confirmeras que c’est un stylo. Tu peux même le prendre dans ta main et griffonner avec sur un morceau de papier pour prouver qu’il peut être utilisé comme stylo.

Puis un chien arrive. Je lui mets le même objet sous le nez. Il va le renifler et reconnaître qu’il s’agit d’un jouet à mâcher. Il le met ensuite dans sa gueule et commence à le mâcher pour confirmer qu’il peut effectivement être utilisé comme bâton à mâcher.

Qui a raison maintenant ? Toi ou le chien ?

Les deux, car chacun de vous a une perception valide qui fonctionne pour lui.

Je pose alors le stylo sur la table et tout le monde quitte la pièce, y compris le chien. Qu’est-ce que cette chose posée là, toute seule – un jouet à mâcher, un stylo ou quelque chose de complètement différent ?

La seule réponse honnête serait « je ne sais pas ».

Ce n’est pas un stylo, car il n’y a personne dont l’esprit projette un stylo parce qu’il a aidé quelqu’un dans le passé en lui donnant un stylo. Et ce n’est pas non plus un bâton à mâcher, car il n’y a pas de chien qui projette l’image d’un bâton à mâcher.

C’est juste un « truc noire » non spécifique – un écran prêt à recevoir une projection et à la transformer ainsi en quelque chose de réel. Nous pourrions également dire qu’il s’agit d’un plasma fondamental ou de la lumière informationnelle qui attend de se condenser en quelque chose de spécifique sur le plan matériel.

C’est de cela qu’il s’agit avec le vide – chaque chose n’est qu’une surface pour notre projection. Et les projections viennent de nous et non de l’objet en dehors de nous.

« Pouvons-nous projeter ce que nous voulons sur les objets que nous voyons ? »

Oui et non. Si je veux voir autre chose, par exemple un gros diamant au lieu d’un stylo. La chose ne devient un gros diamant que si ma conscience est si parfaitement structurée que je sais comment matérialiser les choses, comme le fait le Créateur. Et il faudrait aussi que j’aie planté des graines dans la conscience collective en aidant une autre personne avec quelque chose de vraiment précieux. Mais même dans ce cas, je verrais le diamant comme une projection de mon image mentale.

Cela ne changerait donc rien à la loi du vide. Mais avec la conscience que nous avons en ce moment, nous verrions très probablement encore un stylo.

L’agent actif dans la perception de la réalité est l’image dans notre esprit, l’image issue de la conscience collective. Ces images sont stables et nous ne pouvons pas les changer, à moins que notre conscience individuelle ne soit plus puissante que la conscience collective !

La conscience collective

Nous avons une conscience individuelle et une conscience collective. Nous créons et maintenons cette dernière individuellement et la partageons avec l’ensemble de l’humanité. Toutes nos perceptions, pensées, paroles et actions sont enregistrées dans la conscience collective.

Nous sommes avant tout une partie de l’humanité et en deuxième lieu un individu – et non l’inverse. C’est ça la raison pourquoi nos perceptions se créent d’abord par les images en provenance de la conscience collective pour ensuite se superposer sur les pixels en provenance de nos yeux.

Nous sommes une humanité et une conscience collective depuis le début des temps. Et le fait que nous en soyons conscients ou non n’a aucune importance. C’est quelque chose de très important à comprendre : Nous avons vu que les graines de la bonté envers les autres, que nous avons plantées dans la conscience collective, entretiennent nos beaux yeux et notre sourire. Mais en plus de cela, elles préservent aussi le corps en tant que tel. Si nous étions soudainement en mauvaise posture et que nous arrêtions complètement toutes les actions affirmatives pour la vie, nous mourrions parce que nous ne recevrions plus d’images de la conscience collective qui maintiendraient notre vitalité.

Tous nos actes de bonté nous font vivre dans un monde de paix et de bonheur. Un tel monde est agréable, il a du sens et il est cohérent. Et puisque nous faisons partie de ce monde, nous nous sentons nous aussi cohérents, toutes nos parties formant un tout fonctionnel, dynamique, créatif et aimant. La gentillesse ne génère pas seulement des images heureuses que notre esprit projette sur tout ce que nous rencontrons.

Chacun de nous a développé certaines bonnes qualités – nous pourrions dire des qualités de Bouddha ou de Jésus – mais ces qualités ne se manifestent qu’occasionnellement, elles ne sont pas totalement intégrées. Elles apparaissent pour ainsi dire par hasard. Nous ne sommes pas encore vraiment cohérents, nous sommes un amalgame d’attitudes et de qualités différentes, car nos actions (pensées, paroles et actes) sont encore si incohérentes. Mais plus notre bonté deviendra notre principal trait de caractère, plus ces graines de gentillesse colleront toutes nos qualités en un tout, nous donnant ainsi un soi cohérent et consistant.

La gentillesse crée le sentiment profond que notre vie et le monde dans lequel nous vivons sont cohérents et ont du sens. A un niveau inférieur, c’est ainsi que se crée la continuité de notre personnalité. À un niveau plus profond, nos actes de gentillesse nous permettent de reconnaître la cohérence et la continuité de notre Âme. Ce sont les graines qui nous font sentir que nous ne faisons qu’UN avec le monde dans lequel nous vivons et que nous ne faisons qu’UN avec le Créateur.

La libération de notre potentiel de voyage par l’Âme

« Comment pouvons-nous utiliser la loi de la vacuité pour nous permettre de voyager par et avec notre Âme ? En d’autres termes : Quels actes de bonté envers d’autres êtres créeraient les images dans notre esprit qui nous feraient percevoir que nous pouvons voyager avec notre Âme ? Qu’en penses-tu ? »

La contribution d’Anastasia

Nous comprenons maintenant pourquoi Anastasia accorde une telle importance aux images :

« Toute information est image. Et toutes les images sont de la lumière informationnelle. L’homme lui-même est en effet une image qui a pris une forme matérielle, et comme il est une image matérialisée, l’homme lui-même peut créer et matérialiser des images avec ses pensées. C’est là que réside son pouvoir universel – un pouvoir qui n’est surpassé par rien ni personne.

Si l’homme ne reconnaît pas les capacités que le Créateur a placées en lui, il bloque lui-même ses pouvoirs et tombe sous l’influence d’autres images qu’il matérialise par la suite, jusqu’à ce qu’il finisse par se détruire lui-même, sa famille, sa lignée familiale, son État et la planète entière. C’est ce que nous pouvons observer aujourd’hui, n’est-ce pas ?

Le monde artificiel et technocratique a également été créé par l’homme en utilisant l’énergie et les informations des images que lui suggéraient ses ennemis. Le monde technocratique est fragile et éphémère. Même le dispositif technologique le plus avancé se désagrège à chaque seconde et devient en quelques années de la poussière ou, pire encore, des déchets nocifs pour l’homme. (Parmi les images non constructives du monde technocratique figurent également les êtres de non-lumière dont Christina parle dans l’article suivant).

L’homme lui-même devient fragile et éphémère en vivant sous les images du monde artificiel. En effet, pour un homme qui vit dans un monde d’objets en décomposition, dépourvu de vie, d’amour et de capacité autogène, il est difficile de se représenter la vie éternelle, et de former et de matérialiser l’image de sa propre éternité.

Le monde naturel qui nous est visible existe depuis des milliards d’années. Mais l’image pas encore matérialisée de celui-ci existe depuis bien plus longtemps. Le monde naturel possède la capacité d’auto-génération, et cette capacité le rend éternel. Le Créateur, qui a créé l’éternité, est lui-même éternel.

Ainsi, chaque nouvelle Âme est créée à partir de l’image archétypique dans la glorieuse co-création. Cet archétype est bien sûr notre ressemblance avec le Créateur lui-même. Il est en nous, il est pour ainsi dire notre plan de construction créatif.

Va à sa rencontre ! Et il se précipitera joyeusement vers toi. Le chemin sera joyeux. Petit à petit, vous vous rapprocherez de plus en plus et un jour, vous vous unirez ! Protège ton archétype. Ne l’abandonne jamais à cause des autres. »

Anastasia, livre 10, page 85 et suivantes

Et bien sûr, l’archétype, notre ressemblance avec le Créateur, est implanté dans la conscience collective par tous les actes chaleureux de bonté que nous accomplissons envers les autres. L’archétype se forme lorsque nous agissons, pensons et parlons comme le Créateur – avec tout notre amour et notre bonté !

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Our trinity

We have learned that the seat of the Soul is on the crossing between a line between the two ears and another going from between the eyebrows to the lower back of the head. The Soul of physicality is a dynamic structure which covers the totality, so it doesn’t have a fixed location like the Soul. That seems to be also the logical consequence of the fact that the soul of physicality is the collective soul of all the body’s components.

Moreover, Grigori Grabovoï makes us feel our divine spirit as a luminous diving suit all around our body.

M Keshe likened the Soul to the sun; the soul of physicality to the solar system and all the planets and moons to the body.

Emptiness and Detachment 3

This article is taken from the last part on Geshe Michael’s teaching on youtube: The Body Immortal: Instructions for Stepping Into A Body That Touches the Entire Universe, Part Two

When we are in a difficult situation with another person, for example our husband/wife shouting at us, then we always should remember that there are actually two husbands/wives in front of us: one that shouts at us “for no reason at all” and the other who we perceive shouting at us because we have treated other people unkindly in the past.

Both are our interpretation of what we see on the screen of emptiness: when we put our attention on the first, the no-reason-at-all person, we will react, defend ourselves or counterattack her, thus creating more fighting and shouting in our lives. However, when we direct our attention to the second one we remember that the unpleasant scene, we find ourselves in, comes from how we treated other people unkindly in the past – so we don’t react or retaliate and stop more unpleasant experiences in the future.

This can be used as a “lifeline”: we can train our mind to more and more remember that we really want to deal with the second person and never with the no-reason-at-all person.

Copycats and lazy bones

M Keshe very often warns us to become copy cats out of laziness because not trusting our own powers, prevent us from evolving, prevent us from becoming what we are destined to be: the likeness of the Creator. In this piece of conversation between Anastasia and Vladimir Megré, she explains how this laziness keeps us dependent on other people to find solutions for us and in the wake of it will tell us what we should do, say and think.

Vladimir has bought a hectare of land to build his family domain; and there are many other people, following him, who also bought land in the same area. As it turns out the land is barren; under a feeble blanket of topsoil there is a massive layer of clay – the land doesn’t drain water and nothing can grow there. Vladimir, knowing the knowledgeably and creativeness of Anastasia, turns to her to find him a solution:

“What you are asking for, Vladimir, can be done, but you do not want to try to find the solution yourself. Rather than spending your energy in finding the solution, you are trying to convince me to find the solution for you.

This shows that you have no confidence in your own power. An obstacle that gets even bigger when you ask me to find the solution to your problem.

If I find the solution, then your lack of confidence in our own power will grow even more. What’s more, the solution might turn out to be very, very simple, and that would be an insult to you. You will think: “Why the hell didn’t I find that myself?”. You will see yourself as not competent.

You have turned to me, perhaps seeing me as a superhuman being who is having powers unknown to man to solve you problem, but I’m not superhuman. Through my feelings, I am able to take information from the Universe and the Creator about everything… but every person is also capable of doing the same, if he does not limit himself through the lack of confidence in his own powers.

When you’re asking me for a solution, you can find yourself, then your very asking reinforces your dependency on middle men – experts, wise men, politicians and priests.

And I am telling you: the answer cannot make its way through the obstacle you have created, and your fervent appeal to me only confirms this. So, I will not solve your problem for you!

When your Soul confronts you with a problem, you can be absolutely sure that you have all the necessary tools and information to solve it. In presenting you a problem, your Soul wants to provoke you to evolve by finding new information and new tools!”

Anastasia, Book 10, p.132ff. Edited by aviram

Emptiness and detachment 2

How to understand emptiness correctly and efficiently

In the first article on emptiness, we have learned that no element in the universe exists on its own, but through and in our perception. The complete understanding of emptiness probably doesn’t come to us over night, it is a learning process that may need time and perseverance.

In other words: emptiness is easy to understand logically but to really assimilate it and let it sink into our being, takes time. With our rational mind we can easily understand that every element in the universe is a screen on which we project what we see. And this projection is so real, that it may deceive us into believing that it is not a projection, but a reality on it’s own. Buddhist call this “deceptive reality”. We know that we have u nderstood emptiness correctly when we really see everything as a projection. When we see the Universal Law of Emptiness in action:

Every thing is a screen on which our mind projects the images that come from how we treated people in the past.

At that moment we have reached also perfect detachment, because we don’t fall for the deceptive reality anymore!

This opens two doors for us:

  1. We can check our experiences or perception in order to discover the law of emptiness. And of course this is easier with pleasant experiences than unpleasant ones. This is the path of learning or the path of research.
    We can, for example think of a part of our body that we love or that other people, who love us, love; and then explore what kind actions from our side have created these parts.
  2. And we can purposefully treat more and more people with love and care; thus making sure that we will have more pleasant experiences. This is the path of using the law of emptiness to make our life more peaceful and happy.

The PEN

Imagine that I hold a pen in my hand. If I show you the pen and ask you what it is, you will confirm with me that it is a pen. You can even take it and scribble with it on a piece of paper to prove that it can be used as a pen.

Then comes a dog. I hold the same thing in front of him. He will sniff it, recognize that it is a chew stick. Then he will take it into his mouth and start chewing on it, confirming that it can be used as a chew stick.

Who is right? You or the dog?

Both because each of you has a valid perception that works for you.

Then I put the pen on the table and everybody leaves the room, including the dog. What is this thing lying there all on it’s own– a chew stick or a pen or even something else ?

The only honest answer would be “I don’t know.”

It is not a pen, because there is nobody who’s mind will project a pen because he has helped out someone else in the past by giving him a pen. And neither is it a chew stick because there is no dog who’s mind projects the image of a chew stick.

It is only an unspecific “black thing” – a screen ready to receive a projection and thus become something real. We could say it is a plasma or informational light waiting to condense into some definite thing.

That is what emptiness is all about – every thing is only a screen for our projection. And our projections do come from us and not from the empty object “out there”.

“Can we project whatever we want on the objects we see?”

Yes and no. If i want to see something else, like a big diamond. The thing will only become a big diamond, if my consciousness is perfectly structured and I know how to materialize things like the Creator. And we would need to have planted a seed in the collective consciousness by helping another person with something really valuable. But even then, we would see the diamond as a projection of our mental image.

So it wouldn’t change anything to the Law of Emptiness. But, having the consciousness we have, we would most probably still see a pen.

The active agent in the perception of reality is the image in our mind, the image from the collective unconscious. These images are stable, and we cannot change them unless our individual consciousness is more powerful than the collective consciousness!

The Collective Consciousness

We have an individual consciousness and a collective consciousness. The latter we create, maintain and share with all of humanity. All our perceptions, thoughts, words and actions are stored in the collective consciousness.

We are first and foremost part of humanity and secondly also an individual – not the other way round.

We are one humanity and one collective consciousness since the beginning of time. And it is irrelevant if we are conscious about that or not. This is something very important to understand: We saw that the seeds of kindness to other people that we planted in the collective consciousness, sustain our beautiful eyes and smile. But above that they also sustain your body as such – when we stop all life supporting actions altogether, we die, because there are no images anymore that will give us the perception of being alive.

All our acts of kindness let us live in a world of peace and happiness. Such a world is pleasant, makes sense and is coherent. And being part of this world we feel coherent, all our parts make up a functioning, dynamic, creative, loving totality. Kindness does not only create happy images that our mind will project on all things we encounter.

Every one of us has developed certain good qualities – we could say qualities of a Buddha or a Jesus – but these qualities show only occasionally, they are not fully integrated. They show up by chance. During this period, we are not really integrated, we are a hotchpotch of different attitudes and qualities, because our acts (thoughts, words and actions) are so incoherent. But the more we act with kindness towards others, these seeds of kindness will glue them all together, thus creating a coherent, consistent Self.

Kindness creates the deep feeling that our life and the world we are living in, is coherent and makes sense. On a lower level the continuum of our personality is created that way. On a deeper level our acts of kindness enable us to see the coherence and continuity of our Soul. These are the seeds that will make us feel that we are ONE with the world we live in and that we are ONE with the Creator.

The path to unlock our Soul-travel potential

“How can we use the Law of Emptiness to enable us to travel through space? In other words: what actions of kindness towards another beings would create the images in our mind that make us perceive that we can travel by the Soul? What do you think?”

Anastasia’s contribution

Now we understand why Anastasia ascribes such an importance to images:

“All information is an image. And all images are informational light. Man himself is, in fact, an image that has taken material form, and since he is a materialized image, man himself can use his thought to create and can materialize images. This is where his universal power lies – a power unsurpassed by no one and no thing.

If a person doesn’t recognize the capabilities, placed within him by the Creator, then that person blocks his powers himself and falls under the influence of other images and materializes their thoughts, until finally the destroys himself, his family, his family line, his state and the whole planet.

The artificial, technocratic world was also created by Man using the energy and information of images suggested to him by his enemies. The technocratic world is fragile and transitory. Even the most advanced technological gadget disintegrates with each second and within a few years turns to dust or, worse, into waste harmful to man. (Amongst the non-constructive images of the technocratic world are the un-light entities, Christina talks about in the following article.)

Man himself, by living under the images of the artificial world, becomes fragile and transitory as well. For it is hard for a person who immersed in an avalanche of disintegrating objects that lack life, love and autogenic capability, to imagine eternal life, crate the image of his own eternity and materialize it.

The natural world that is visible to us, has existed for billions of years. But for a much longer time already existed the not yet materialized image of it. The natural world possesses the capability for auto-genesis, and this capability makes it eternal. The Creator, who created eternity, is eternal Himself.

So each new Soul is created in the splendid co-creation from the primeval image. This primeval image is of course our likeness to the Creator himself. It is within ourself. Go out to meet it. And joyfully will it rush toward you. Joyful will the path be. Gradually coming nearer and nearer to each other, you will one day unite! Protect your primeval image. Do not abandon it to others.”

Anastasia, book 10, page 85ff

And of course the primeval image, our likeness to the Creator, is planted into the collective consciousness by all the warm acts of kindness we do to others. The primeval image is created when we do, think and speak like the Creator – with all our Love and Kindness!

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Unsere Dreifaltigkeit

Wir haben gelernt, dass der Sitz der Seele an der Kreuzung zwischen einer Linie zwischen den beiden Ohren und einer weiteren, die von den Augenbrauen zum unteren Hinterkopf verläuft, liegt.

Die Seele der Körperlichkeit ist eine dynamische Struktur, die die Gesamtheit umfasst, also hat sie keinen festen Sitz wie die Seele. Das scheint auch die logische Konsequenz der Tatsache zu sein, dass die Seele der Körperlichkeit die kollektive Seele aller Bestandteile des Körpers ist.

Übrigens lässt uns Grigori Grabovoï unseren göttlichen Geist wie einen leuchtenden Taucheranzug fühlen, der sich an unseren Körper schmiegt.

M. Keshe verglich die Seele mit der Sonne; die Seele der Körperlichkeit mit dem Sonnensystem und alle Planeten und Monde mit dem Körper.

Leere und Losgelöstheit 3

Dieser Artikel stammt aus dem letzten Teil von Geshe Michaels Unterweisung auf youtube: Der Unsterbliche Körper: Anleitung zum Eintreten in einen Körper, der das ganze Universum berührt, Teil zwei

Wenn wir uns in einer schwierigen Situation mit einer anderen Person befinden, z. B. wenn unser Ehemann/unsere Ehefrau uns anschreit, dann sollten wir uns immer daran erinnern, dass wir eigentlich zwei Ehemänner/Frauen vor uns haben: einen, der uns « ohne jeden Grund » anschreit, und den anderen, von dem wir glauben, dass er uns anschreit, weil wir andere Menschen in der Vergangenheit unfreundlich behandelt haben.

Beide sind unsere Interpretation dessen, was wir auf dem Bildschirm der Leere sehen: Wenn wir unsere Aufmerksamkeit auf die erste, die ohne jeden Grund-Person richten, werden wir reagieren, uns verteidigen oder einen Gegenangriff auf sie starten und damit mehr Kämpfe und Geschrei in unser Leben bringen. Wenn wir jedoch unsere Aufmerksamkeit auf die zweite Person richten, erinnern wir uns daran, dass die unangenehme Szene, in der wir uns befinden, daher rührt, wie wir andere Menschen in der Vergangenheit unfreundlich behandelt haben – also reagieren wir nicht oder üben keine Vergeltung und verhindern dadurch weitere unangenehme Erfahrungen in der Zukunft.

Dies kann als « Rettungsanker » dienen: Wir können unseren Verstand darauf trainieren, uns mehr und mehr daran zu erinnern, dass wir es wirklich mit der zweiten Person zu tun haben wollen und niemals mit der Person, die ohne jeden Grund gegen uns ist.

Nachahmer und faule Säcke

M. Keshe warnt uns sehr oft davor, aus Faulheit zu Nachahmern zu werden, denn wenn wir unseren eigenen Kräften nicht trauen, werden wir daran gehindert, uns weiterzuentwickeln und das zu werden, wozu wir bestimmt sind: dem Schöpfers gleich zu sein. In diesem Gespräch zwischen Anastasia und Vladimir Megré erklärt sie, wie diese Faulheit uns in einem Abhängigkeitsverhältnis von anderen gefangen hält. Sie finden Lösungen für uns und zwingen uns dann, ihre Ratschläge zu befolgen; schreiben uns vor, was wir tun, sagen und denken sollen.

Der Aufhänger der Diskussion ist, dass Vladimir seinen Hektar Land gekauft hat, um sein eigenes Familienanwesen zu errichten; und es gibt viele andere Leute, die ihm folgen und ebenfalls Land in derselben Gegend gekauft haben. Wie sich herausstellt, ist das Land aber unfruchtbar; unter einer dünnen Decke aus Mutterboden befindet sich eine massive Schicht aus Lehm – das Land kann kein Wasser ableiten und nichts kann dort wachsen. Vladimir, der Anastasias Wissen und Kreativität kennt, wendet sich an sie, damit sie eine Lösung für ihn findet:

« Was du verlangst, Vladimir, ist machbar, aber du versuchst nicht, die Lösung selbst zu finden. Anstatt deine Energie darauf zu verwenden, die Lösung zu finden, versuchst du, mich zu überzeugen, die Lösung für dich zu finden.

Das zeigt, dass du kein Vertrauen in deine eigene Kraft hast. Das ist ein Hindernis, das jedes Mal größer wird, wenn du jemanden bittest, die Lösung für dein Problem zu finden.

Wenn ich die Lösung finde, wird dein Mangel an Vertrauen in deine eigene Macht noch größer werden. Mehr noch, die Lösung könnte sich als sehr, sehr einfach herausstellen, und das wäre eine Beleidigung für dich. Du wirst dann denken: « Warum zum Teufel bin ich nicht selbst darauf gekommen? ». Du wirst dich selbst als Versager ansehen.

Du hast dich an mich gewandt, vielleicht in der Annahme, dass ich ein übermenschliches Wesen bin, das über Kräfte verfügt, die normalen Menschen unbekannt sind, um dein Problem zu lösen, aber ich bin nicht übermenschlich. Über meine Gefühle bin ich in der Lage, vom Universum und vom Schöpfer Informationen über alles zu erhalten… aber dieser Weg ist jedem Menschen zugänglich, wenn er sich nicht durch mangelndes Vertrauen in seine eigenen Kräfte selbst blockiert.

Wenn du mich um eine Lösung bittest, die du selbst finden könntest, dann verstärkt dein Bitten deine Abhängigkeit von Mittelsmännern – Experten, Fachmännern, Politikern und Priestern.

Und ich sage dir: Die Antwort kann nicht durch das von dir geschaffene Hindernis hindurch zu dir kommen, und dein inbrünstiger Appell an mich bestätigt dies nur. Ich werde also dein Problem nicht für dich lösen!

Wenn unsere Seele uns mit einem Problem konfrontiert, dann können wir absolut sicher sein, dass wir gleichzeitig alle notwendigen Werkzeuge und Informationen haben, um es zu lösen. Wenn unsere Seele uns ein Problem stellt, möchte Sie uns dazu anregen, uns weiterzuentwickeln, indem wir neue Informationen und neue Werkzeuge finden! »

Anastasia, Buch 10, S.132ff. Herausgegeben von aviram

Leere und Losgelöstheit 2

Wie man die Leere richtig und effizient versteht

Im ersten Artikel über Leere haben wir gelernt, dass kein Element im Universum für sich allein existiert, sondern durch und in unserer Wahrnehmung. Das vollständige Verständnis der Leere erschließt sich uns wahrscheinlich nicht über Nacht, es ist ein Lernprozess, der Zeit und Ausdauer erfordern kann.

Mit anderen Worten: Leere ist logisch leicht zu verstehen, aber sie wirklich zu assimilieren und in unser Wesen einsinken zu lassen, braucht Zeit. Mit unserem rationalen Verstand können wir leicht verstehen, dass jedes Element im Universum eine Leinwand ist, auf die wir projizieren, was wir sehen. Und diese Projektion ist so real, dass sie uns vorgaukeln kann, dass es sich nicht um eine Projektion, sondern um eine eigenständige Realität handelt. Die Buddhisten nennen dies « trügerische Realität ». Wir wissen, dass wir die Leer richtig verstanden haben, wenn wir wirklich alles als eine Projektion sehen. Das ist das Universelle Gesetz der Leere in Aktion:

Jedes Element der Realität ist eine Leinwand, auf die unser Mind die Bilder projiziert, die daher kommen, wie wir Menschen in der Vergangenheit behandelt haben.

In diesem Moment haben wir auch vollkommene Losgelöstheit erreicht, denn wir fallen nicht mehr auf die trügerische Realität herein!

Nun öffnen sich zwei Türen für uns:

  1. Wir können unsere Erfahrungen oder Wahrnehmungen auschecken, um das Gesetz der Leere zu verfolgen. Und natürlich ist das bei angenehmen Erfahrungen leichter als bei unangenehmen. Dies ist der Weg des Lernens oder der Weg der Forschung.
    Wir können zum Beispiel an einen Teil unseres Körpers denken, den wir lieben oder den andere Menschen, die uns lieben, lieben; und dann versuchen herauszufinden, welche Art von Handlungen von unserer Seite aus diese Teile geschaffen haben.
  2. Und wir können gezielt mehr und mehr Menschen mit Liebe und Fürsorge behandeln und so dafür sorgen, dass wir mehr angenehme Erfahrungen machen werden. Dies ist der Weg, das Gesetz der Leere anzuwenden, um unser Leben friedlicher und glücklicher zu machen.

Der STIFT

Stell dir vor, dass ich einen Stift in meiner Hand halte. Wenn ich dir den Stift zeige und dich frage, was es ist, wirst du mir bestätigen, dass es ein Stift ist. Du kannst ihn sogar in die Hand nehmen und mit ihm auf ein Stück Papier kritzeln, um zu beweisen, dass er als Stift verwendet werden kann.

Dann kommt ein Hund. Ich halte ihm das gleiche Ding vor die Nase. Er wird daran schnüffeln und erkennen, dass es ein Kauspielzeug ist. Dann nimmt er es ins Maul und fängt an, darauf herumzukauen, um zu bestätigen, dass es tatsächlich als Kaustock verwendet werden kann.

Wer hat nun Recht? Du oder der Hund?

Beide, denn jeder von euch hat eine gültige Wahrnehmung, die für euch funktioniert.

Dann lege ich den Stift auf den Tisch und alle verlassen den Raum, einschließlich des Hundes. Was ist dieses Ding, das da so ganz allein liegt – ein Kauspielzeug oder ein Stift oder etwas ganz anderes?

Die einzige ehrliche Antwort wäre « Ich weiß es nicht ».

Es ist kein Stift, denn es gibt niemanden, dessen Mind einen Stift projiziert, weil er in der Vergangenheit jemandem geholfen hat, indem er ihm einen Stift gab. Und es ist auch kein Kaustock, weil es keinen Hund gibt, dessen Mind das Bild eines Kaustocks projiziert.

Es ist nur ein unspezifisches « schwarzes Ding » – ein Bildschirm, der bereit ist, eine Projektion zu empfangen und sie so zu etwas Realem werden zu lassen. Wir könnten auch sagen, dass es sich um ein Plasma oder informationelles Licht handelt, das darauf wartet, sich zu etwas Bestimmtem materiell zu verdichten.

Das ist es, worum es bei der Leere geht – jedes Ding ist nur eine Fläche für unsere Projektion. Und die Projektionen kommen von uns und nicht von dem Objekt « da draußen ».

« Können wir auf die Objekte, die wir sehen, projizieren, was wir wollen? »

Ja und nein. Wenn ich etwas anderes sehen will, zum Beispiel einen großen Diamanten anstatt eines Stiftes. Das Ding wird nur dann zu einem großen Diamanten, wenn mein Bewusstsein so perfekt strukturiert ist und ich weiß, wie ich Dinge materialisieren kann, wie der Schöpfer. Und ich müsste auch einen Samen in das kollektive Bewusstsein gepflanzt haben, indem ich einem anderen Menschen mit etwas wirklich Wertvollem geholfen habe. Aber selbst dann würde ich den Diamanten als eine Projektion meines mentalen Bildes sehen.

Es würde also nichts am Gesetz der Leere ändern. Aber mit dem Bewusstsein, das wir im Moment haben, würden wir höchstwahrscheinlich immer noch einen Stift sehen.

Der aktive Reagenz bei der Wahrnehmung der Realität ist das Bild in unserem Mind, das Bild aus dem kollektiven Bewusstsein. Diese Bilder sind stabil, und wir können sie nicht ändern, es sei denn, unser individuelles Bewusstsein ist mächtiger als das kollektive Bewusstsein!

Das kollektive Bewußtsein

Wir haben ein individuelles Bewusstsein und ein kollektives Bewusstsein. Letzteres erschaffen und erhalten wir individuell und teilen es mit der gesamten Menschheit. Alle unsere Wahrnehmungen, Gedanken, Worte und Handlungen sind im kollektiven Bewusstsein gespeichert.

Wir sind in erster Linie Teil der Menschheit und in zweiter Linie ein Individuum – nicht umgekehrt.

Wir sind eine Menschheit und ein kollektives Bewusstsein seit Anbeginn der Zeit. Und es ist unerheblich, ob wir uns dessen bewusst sind oder nicht. Das ist etwas sehr Wichtiges zu verstehen: Wir haben gesehen, dass die Samen der Freundlichkeit gegenüber anderen Menschen, die wir im kollektiven Bewusstsein gepflanzt haben, unsere schönen Augen und unser Lächeln erhalten. Aber darüber hinaus erhalten sie auch den Körper als solchen. Wenn wir plötzlich ganz schlecht draufkämen und alle lebenserhaltenden Handlungen ganz einstellen würden, dann würden wir sterben, weil wir keine Bilder mehr von dem kollektiven Bewusstsein erhalten würden, die unsere Lebendigkeit aufrecht erhalten würden.

All unsere Taten der Güte lassen uns in einer Welt des Friedens und des Glücks leben. Eine solche Welt ist angenehm, macht Sinn und ist kohärent. Und da wir Teil dieser Welt sind, fühlen auch wir uns kohärent, alle unsere Teile bilden ein funktionierendes, dynamisches, kreatives, liebevolles Ganzes. Freundlichkeit erzeugt nicht nur glückliche Bilder, die unser Mind auf alles projiziert, dem wir begegnen.

Jeder von uns hat bestimmte gute Eigenschaften entwickelt – wir könnten sagen, Eigenschaften eines Buddha oder eines Jesus – aber diese Eigenschaften zeigen sich nur gelegentlich, sie sind nicht vollständig integriert. Sie tauchen sozusagen zufällig auf. Wir sind noch nicht wirklich kohärent, wir sind ein Sammelsurium von verschiedenen Einstellungen und Qualitäten, weil unsere Handlungen (Gedanken, Worte und Taten) so unzusammenhängend sind. Aber je mehr unsere Güte zu unserem hauptsächlichen Charakterzug wird, desto mehr werden diese Samen der Freundlichkeit alle unsere Eigenschaften zu einem Ganzen zusammenkleben und uns so ein kohärentes, konsistentes Selbst bescheren.

Freundlichkeit erzeugt das tiefe Gefühl, dass unser Leben und die Welt, in der wir leben, kohärent ist und einen Sinn hat. Auf einer niedrigeren Ebene wird auf diese Weise das Kontinuum unserer Persönlichkeit geschaffen. Auf einer tieferen Ebene ermöglichen uns unsere Taten der Freundlichkeit, die Kohärenz und Kontinuität unserer Seele zu erkennen. Dies sind die Samen, die uns spüren lassen, dass wir EINS sind mit der Welt, in der wir leben, und dass wir EINS sind mit dem Schöpfer.

Die Freisetzung unseres Seelenreise-Potentials

« Wie können wir das Gesetz der Leere nutzen, um uns zu ermöglichen, durch und mit unserer Seele zu reisen? Mit anderen Worten: Welche Handlungen der Freundlichkeit gegenüber anderen Wesen würden die Bilder in unserem Geist erzeugen, die uns wahrnehmen lassen, dass wir mit der Seele reisen können? Was meinst du? »

Der Beitrag von Anastasia

Jetzt verstehen wir, warum Anastasia den Bildern eine so große Bedeutung beimisst:

« Alle Information sind Bilder. Und alle Bilder sind informatives Licht. Der Mensch selbst ist in der Tat ein Bild, das materielle Form angenommen hat, und da er ein materialisiertes Bild ist, kann der Mensch selbst mit seinen Gedanken Bilder schaffen und materialisieren. Darin liegt seine universelle Macht – eine Macht, die von niemandem und nichts übertroffen wird.

Wenn der Mensch die Fähigkeiten, die der Schöpfer in ihn hineingelegt hat, nicht erkennt, dann blockiert er selbst seine Kräfte und gerät unter den Einfluss anderer Bilder und materialisiert deren Gedanken, bis er schließlich sich selbst, seine Familie, seine Familienlinie, seinen Staat und den ganzen Planeten zerstört. Wir sehen das heute, nicht wahr?

Die künstliche, technokratische Welt wurde ebenfalls vom Menschen geschaffen, indem er die Energie und die Informationen der Bilder nutzte, die ihm von seinen Feinden suggeriert wurden. Die technokratische Welt ist zerbrechlich und vergänglich. Selbst das fortschrittlichste technologische Gerät zerfällt mit jeder Sekunde und wird innerhalb weniger Jahre zu Staub oder, schlimmer noch, zu für den Menschen schädlichem Abfall. (Zu den nicht-konstruktiven Bildern der technokratischen Welt gehören auch die Un-Licht-Wesen, über die Christina im folgenden Artikel spricht.)

Auch der Mensch selbst wird durch das Leben unter den Bildern der künstlichen Welt zerbrechlich und vergänglich. Denn für einen Menschen, der in einer Welt von zerfallenden Objekten lebt, denen es an Leben, Liebe und autogener Fähigkeit fehlt, ist es schwer, sich das ewige Leben vorzustellen, das Bild seiner eigenen Ewigkeit zu formen und zu materialisieren.

Die natürliche Welt, die für uns sichtbar ist, existiert seit Milliarden von Jahren. Aber schon viel länger existiert das noch nicht materialisierte Bild von ihr. Die natürliche Welt besitzt die Fähigkeit zur Selbstgenese, und diese Fähigkeit macht sie ewig. Der Schöpfer, der die Ewigkeit geschaffen hat, ist selbst ewig.

So wird jede neue Seele in der herrlichen Mitschöpfung aus dem Urbild geschaffen. Dieses Urbild ist natürlich unsere Ähnlichkeit mit dem Schöpfer selbst. Es ist in uns, es ist sozusagen unser kreativer Bauplan.

Geh hinaus, um ihm zu begegnen. Und freudig wird es auf dich zustürmen. Freudig wird der Weg sein. Allmählich kommt ihr einander immer näher und werdet euch eines Tages vereinen! Beschütze dein Urbild. Gebe es niemals auf wegen der anderen. »

Anastasia, Buch 10, Seite 85ff

Und natürlich wird das Urbild, unsere Ähnlichkeit mit dem Schöpfer, in das kollektive Bewusstsein eingepflanzt durch all die warmen Taten der Freundlichkeit, die wir anderen gegenüber vollbringen. Das Urbild entsteht, wenn wir wie der Schöpfer handeln, denken und sprechen – mit all unserer Liebe und Freundlichkeit!

[:es]

Nuestra trinidad

Hemos aprendido que la sede del Alma se encuentra en la intersección de una línea entre las dos orejas y otra línea que va desde el entrecejo hasta la parte inferior de la espalda.

El alma de la forma física es una estructura dinámica que abarca el conjunto, por lo que no tiene una sede fija como el Alma. Esto también parece ser la consecuencia lógica del hecho de que el alma de la forma física es el alma colectiva de todos los elementos del cuerpo.

Además, Grigori Grabovoï nos hace sentir nuestro espíritu divino como una escafandra luminosa que abraza nuestro cuerpo.

El Sr. Keshe comparó el Alma con el sol; el alma de la forma física con el sistema solar y todos los planetas y lunas con el cuerpo.

Vacío y desapego 3

Este artículo está tomado de la última parte de la enseñanza de Geshe Michael en youtube: El Cuerpo Inmortal: Instrucciones para entrar en un cuerpo que toca todo el universo, segunda parte

Cuando nos encontremos en una situación difícil con otra persona, por ejemplo, con nuestro marido/esposa gritándonos, debemos recordar siempre que en realidad hay dos maridos/esposas frente a nosotros: uno que nos grita « sin razón alguna » y el otro que percibimos que nos grita porque hemos tratado a otras personas de forma poco amable en el pasado.

Ambas son nuestra interpretación de lo que vemos en la pantalla del vacío. Cuando ponemos nuestra atención en la primera, la persona sin razón, reaccionaremos, nos defenderemos o la contraatacaremos, creando así más peleas y gritos en nuestra vida. Sin embargo, cuando dirigimos nuestra atención a la segunda, recordamos que la escena desagradable en la que nos encontramos proviene de cómo tratamos a otras personas de forma poco amable en el pasado, por lo que no reaccionamos ni tomamos represalias y evitamos más experiencias desagradables en el futuro.

Esto se puede utilizar como un « salvavidas »: podemos entrenar nuestra mente para recordar cada vez más que realmente queremos tratar con la segunda persona y nunca con la persona sin razón.

Imitadores y perezosos

M Keshe nos advierte muy a menudo de que nos convertimos en gatos, imitando su pereza. Porque no confiar en nuestros propios poderes, nos impide evolucionar, nos impide convertirnos en lo que estamos destinados a ser: la semejanza del Creador. En este fragmento de conversación entre Anastasia y Vladimir Megré, explica cómo esta pereza nos hace depender de otras personas para que encuentren soluciones por nosotros y a raíz de ello nos dirán lo que debemos hacer, decir y pensar.

Vladimir ha comprado una hectárea de tierra para construir su dominio familiar y, hay muchas otras personas, siguiéndolo, que también compraron tierras en la misma zona. Resulta que el terreno es estéril, bajo un débil manto de tierra vegetal hay una enorme capa de arcilla, la tierra no drena el agua y nada puede crecer allí. Vladimir, conociendo los conocimientos y la creatividad de Anastasia, recurre a ella para que le encuentre una solución:

« Lo que pides, Vladimir, se puede hacer, pero no quieres intentar encontrar la solución por ti mismo. En lugar de gastar tu energía en encontrar la solución, intentas convencerme de que encuentre la solución por ti.

Esto demuestra que no tienes confianza en tu propio poder. Un obstáculo que se hace aún mayor cuando me pides que encuentre la solución a tu problema.

Si encuentro la solución, tu falta de confianza en nuestro propio poder crecerá aún más. Es más, la solución podría resultar muy, muy sencilla, y eso sería un insulto para ti. Pensarás: « ¿Por qué demonios no lo he encontrado yo mismo? ». Te verás a ti mismo como poco competente.

Te has dirigido a mí, quizás viéndome como un ser sobrehumano que tiene poderes desconocidos para el hombre para resolver tu problema, pero yo no soy sobrehumano. A través de mis sentimientos, soy capaz de tomar información del Universo y del Creador sobre todo… pero cada persona también es capaz de hacer lo mismo, si no se limita por la falta de confianza en sus propios poderes.

Cuando me pides una solución, que puedes encontrar tú mismo, entonces tu misma petición refuerza tu dependencia de los intermediarios: expertos, sabios, políticos y sacerdotes.

Y yo te digo: la respuesta no puede abrirse paso a través del obstáculo que has creado, y tu ferviente apelación a mí sólo lo confirma. Por lo tanto, ¡no voy a resolver tu problema por ti!

Cuando tu Alma te enfrenta a un problema, puedes estar absolutamente seguro de que tienes todas las herramientas y la información necesarias para resolverlo. Al presentarte un problema, tu Alma quiere provocarte para que evoluciones encontrando nueva información y nuevas herramientas! »

Anastasia, Libro 10, p.132ss. Editado por aviram

Vacío y desapego 2

Cómo entender la vacuidad de forma correcta y eficaz

En el primer artículo sobre la vacuidad, aprendimos que ningún elemento del universo existe por sí mismo, sino a través y en nuestra percepción. La comprensión completa de la vacuidad probablemente no esté disponible para nosotros de la noche a la mañana, es un proceso de aprendizaje que puede llevar tiempo y perseverancia.

En otras palabras, la vacuidad es lógicamente fácil de entender, pero asimilarla realmente y dejar que impregne nuestro ser lleva tiempo. Con nuestra mente racional, podemos entender fácilmente que cada elemento del universo es una pantalla en la que proyectamos lo que vemos. Y esta proyección es tan real que puede hacernos creer que no es una proyección, sino una realidad en sí misma. Esto es lo que los budistas llaman « realidad engañosa ». Sabemos que hemos comprendido el vacío cuando realmente vemos todo como una proyección. He aquí la ley universal del vacío en acción:

Cada elemento de la realidad es una pantalla en la que nuestra mente proyecta imágenes que provienen del modo en que hemos tratado a las personas en el pasado.

En este punto también hemos logrado el desapego total, ¡porque ya no estamos engañados por la realidad engañosa!

Se nos abren entonces dos puertas:

  1. Podemos comprobar nuestras experiencias o percepciones para seguir la ley de la vacuidad. Y, por supuesto, esto es más fácil para las experiencias agradables que para las desagradables. Esta es la forma de aprender o investigar.
    Por ejemplo, podemos pensar en una parte de nuestro cuerpo que nos guste o que le guste a otras personas a las que les gustamos; y luego tratar de averiguar qué tipo de acción por nuestra parte creó esas partes.

  2. Y podemos recordarnos cada vez más que debemos tratar a la gente con amor y cuidado, y así asegurarnos de tener más experiencias agradables. Esta es la forma de aplicar la ley del vacío para hacer nuestra vida más pacífica y feliz.

La pluma

Imagina que tengo un bolígrafo en la mano. Si te enseño el bolígrafo y te pregunto qué es, me confirmarás que es un bolígrafo. Incluso puedes cogerlo con la mano y garabatear con él en un papel para demostrar que se puede utilizar como bolígrafo.

Entonces aparece un perro. Puse el mismo objeto bajo su nariz. Lo olerá y lo reconocerá como un juguete para morder. A continuación, se lo mete en la boca y empieza a masticarlo para confirmar que, efectivamente, se puede utilizar como palo de mascar.

¿Quién es ahora? ¿Tú o el perro?

Ambos, porque cada uno tiene una percepción válida que le funciona.

Luego pongo el bolígrafo sobre la mesa y todos salen de la habitación, incluido el perro. ¿Qué es esa cosa que está ahí sola, un juguete para masticar, un bolígrafo o algo completamente diferente?

La única respuesta honesta sería « no lo sé ».

No es un bolígrafo, porque no hay nadie cuya mente proyecte un bolígrafo porque haya ayudado a alguien en el pasado dándole un bolígrafo. Y tampoco es un palo para masticar, porque no hay ningún perro que proyecte la imagen de un palo para masticar.

Es sólo una « cosa negra » no específica, una pantalla preparada para recibir una proyección y así transformarla en algo real. También podríamos decir que es un plasma fundamental o luz informativa que espera condensarse en algo concreto en el plano material.

En eso consiste el vacío: todo es sólo una superficie para nuestra proyección. Y las proyecciones provienen de nosotros, no del objeto fuera de nosotros.

« ¿Podemos proyectar lo que queremos en los objetos que vemos? »

Sí y no. Si quiero ver otra cosa, por ejemplo un gran diamante en lugar de un bolígrafo. La cosa sólo se convierte en un gran diamante si mi conciencia está tan perfectamente estructurada y sé cómo materializar las cosas, como hace el Creador. Y también tendría que haber plantado semillas en la conciencia colectiva ayudando a otra persona con algo realmente valioso. Pero incluso entonces vería el diamante como una proyección de mi imagen mental.

Así que no cambiaría la ley de la vacuidad. Pero con la conciencia que tenemos ahora, lo más probable es que sigamos viendo una pluma.

El agente activo en la percepción de la realidad es la imagen en nuestra mente, la imagen de la conciencia colectiva. Estas imágenes son estables y no podemos cambiarlas, ¡a menos que nuestra conciencia individual sea más poderosa que la conciencia colectiva!

La conciencia colectiva

Tenemos una conciencia individual y una conciencia colectiva. Creamos y mantenemos esta última individualmente y la compartimos con toda la humanidad. Todas nuestras percepciones, pensamientos, palabras y acciones se registran en la conciencia colectiva.

En primer lugar, somos una parte de la humanidad y, en segundo lugar, un individuo, y no al revés.

Somos una humanidad y una conciencia colectiva desde el principio de los tiempos. Y que seamos o no conscientes de ello es irrelevante. Esto es algo muy importante que hay que entender: hemos visto que las semillas de la bondad hacia los demás, que hemos plantado en la conciencia colectiva, mantienen nuestros ojos hermosos y nuestra sonrisa. Pero además de eso, también preservan el cuerpo como tal. Si de repente estuviéramos mal y dejáramos por completo todas las acciones de afirmación de la vida, moriríamos porque dejaríamos de recibir imágenes de la conciencia colectiva que mantendrían nuestra vitalidad.

Todos nuestros actos de bondad nos hacen vivir en un mundo de paz y felicidad. Un mundo así es agradable, tiene sentido y es coherente. Y como somos parte de este mundo, también nos sentimos coherentes, todas nuestras partes forman un todo funcional, dinámico, creativo y amoroso. La bondad no sólo genera imágenes felices que nuestra mente proyecta sobre todo lo que encontramos.

Cada uno de nosotros ha desarrollado ciertas cualidades buenas -podríamos decir cualidades de Buda o de Jesús-, pero estas cualidades sólo aparecen ocasionalmente, no están totalmente integradas. Aparecen, por así decirlo, por casualidad. Todavía no somos realmente coherentes, somos una amalgama de diferentes actitudes y cualidades, porque nuestras acciones (pensamientos, palabras y actos) son muy incoherentes. Pero cuanto más se convierta nuestra bondad en nuestro principal rasgo de carácter, más pegarán estas semillas de bondad todas nuestras cualidades, dándonos un yo coherente y consistente.

La bondad crea una profunda sensación de que nuestras vidas y el mundo en el que vivimos son coherentes y tienen sentido. A un nivel inferior, así es como se crea la continuidad de nuestra personalidad. A un nivel más profundo, nuestros actos de bondad nos permiten reconocer la coherencia y la continuidad de nuestra Alma. Estas son las semillas que nos hacen sentir que somos UNO con el mundo en el que vivimos y que somos UNO con el Creador.

Liberar nuestro potencial de viaje del alma

« ¿Cómo podemos utilizar la ley del vacío para permitirnos viajar por y con nuestra Alma? En otras palabras: ¿Qué actos de bondad hacia otros seres crearían las imágenes en nuestra mente que nos harían percibir que podemos viajar con nuestra Alma? ¿Qué te parece? »

La contribución de Anastasia

Ahora entendemos por qué Anastasia da tanta importancia a las imágenes:

« Toda la información es imagen. Y todas las imágenes son de luz informativa. El propio hombre es, en efecto, una imagen que ha tomado una forma material, y puesto que es una imagen materializada, el propio hombre puede crear y materializar imágenes con sus pensamientos. Ahí reside su poder universal, un poder que no es superado por nada ni por nadie.

Si el hombre no reconoce las capacidades que el Creador ha puesto en él, él mismo bloquea sus poderes y cae bajo la influencia de otras imágenes que posteriormente materializa, hasta que finalmente se destruye a sí mismo, a su familia, a su línea familiar, a su estado y a todo el planeta. Esto es lo que podemos observar hoy, ¿no?

El mundo artificial y tecnocrático también fue creado por el hombre utilizando la energía y la información de las imágenes que le sugieren sus enemigos. El mundo tecnocrático es frágil y efímero. Incluso el dispositivo tecnológico más avanzado se desintegra cada segundo y en pocos años se convierte en polvo o, lo que es peor, en residuos nocivos para el hombre. (Entre las imágenes no constructivas del mundo tecnocrático están también los seres no luminosos de los que habla Christina en el siguiente artículo).

El propio hombre se vuelve frágil y efímero al vivir bajo las imágenes del mundo artificial. En efecto, para un hombre que vive en un mundo de objetos decadentes, desprovistos de vida, de amor y de capacidad de autogeneración, es difícil imaginarse la vida eterna y formar y materializar la imagen de su propia eternidad.

El mundo natural visible para nosotros existe desde hace miles de millones de años. Pero su imagen no materializada existe desde hace mucho más tiempo. El mundo natural tiene la capacidad de autogenerarse, y esta capacidad lo hace eterno. El Creador, que creó la eternidad, es él mismo eterno.

Así, cada nueva Alma se crea a partir de la imagen arquetípica en gloriosa co-creación. Este arquetipo es, por supuesto, nuestra semejanza con el propio Creador. Está dentro de nosotros, es nuestro proyecto creativo, por así decirlo.

Ve a conocerlo. Y se precipitará alegremente hacia ti. El camino será alegre. Poco a poco os iréis acercando y un día os uniréis. Protege tu arquetipo. Nunca lo abandones por culpa de los demás.

Anastasia, Libro 10, página 85 y siguientes.

Y por supuesto, el arquetipo, nuestra semejanza con el Creador, se implanta en la conciencia colectiva a través de todos los cálidos actos de bondad que hacemos por los demás. El arquetipo se forma cuando actuamos, pensamos y hablamos como el Creador: ¡con todo nuestro amor y bondad!

[:it]

La nostra trinità

Abbiamo appreso che il posto dell’Anima si trova all’intersezione di una linea tra le due orecchie e un’altra che va dalle sopracciglia alla parte posteriore inferiore della testa.

L’Anima della forma fisica è una struttura dinamica che ingloba la totalità, quindi non ha una sede fissa come l’Anima. Sembra anche essere la conseguenza logica del fatto che l’anima della forma fisica è l’anima collettiva di tutti gli elementi del corpo.

Inoltre, Grigori Grabovoï ci fa sentire il nostro spirito divino come uno scafandro luminoso che abbraccia il nostro corpo.

M Keshe ha paragonato l’Anima al sole; l’anima dalla forma fisica al sistema solare e tutti i pianeti e lune al corpo.

Vuoto e Distacco 3

Questo articolo é tratto dall’ultima parte dell’insegnamento di Geshe Michael su youtube: Il Corpo Immortale: Istruzioni per Entrare in un Corpo che Tocca l’Intero Universo, Parte Seconda

Quando ci troviamo in una situazione difficile con un’altra persona, ad esempio nostro marito/moglie che ci urla contro, dovremmo sempre ricordare in realtà che ci sono due mariti/mogli di fronte a noi: uno che ci grida “senza motivo” e l’altro che percepiamo come se ci urlasse perché abbiamo trattato in passato altre persone con cattiveria.

Entrambe sono la nostra interpretazione di ciò che vediamo sullo schermo del vuoto: quando ci concentriamo sulla prima, la persona senza motivo, reagiremo, ci difenderemo o contrattaccheremo, creando più lotte e urla nelle nostre vite future. Al contrario, quando rivolgiamo la nostra attenzione alla seconda persona, ricordiamo che la scena spiacevole in cui ci troviamo proviene dal modo in cui abbiamo trattato gli altri in modo spiacevole in passato – non reagiamo o non ricambiamo, impedendo altre spiacevoli esperienze in futuro.

Questo può essere utilizzato come un “salvagente”: possiamo allenare la nostra mente a ricordare sempre più che vogliamo davvero trattare con la seconda persona e mai con la persona senza motivo.

Imitatori e scansafatiche

Molto spesso M Keshe ci mette in guardia dal diventare imitatori per pigrizia perché non fidarci dei nostri poteri ci impedisce di evolverci, ci impedisce di diventare ciò che siamo destinati ad essere: la somiglianza del Creatore. In questa conversazione tra Anastasia e Vladimir Megré, lei spiega come questa pigrizia ci renda dipendenti dagli altri. Prima ci fanno un favore trovando le soluzioni al nostro posto e poi ci ordinano quello che dobbiamo fare, dire e pensare.

L’argomento della conversazione è che Vladimir ha comprato il suo ettaro di terra per costruire la sua tenuta di famiglia; e ci sono molte altre persone, che dopo di lui hanno ugualmente acquistato terreni nella stessa zona. Si scopre che la terra è sterile; sotto un piccolo strato di terra coltivabile c’è un enorme strato di argilla – la terra non drena l’acqua e nulla può crescere lì. Vladimir, consapevole della conoscenza e della creatività di Anastasia, si rivolge a lei per trovare una soluzione:

“Quello che chiedi, Vladimir, può essere fatto, ma invece di fare uno sforzo per trovare una soluzione da solo, stai cercando di convincermi a trovare la soluzione per te.

Questo dimostra che non hai fiducia nel tuo potere. Un ostacolo che diventa ancora più grande quando mi chiedi di trovare una soluzione al tuo problema.

Supponiamo che io trovi la soluzione, la tua mancanza di fiducia nel tuo potere aumenterebbe sempre di più. Inoltre, la soluzione potrebbe rivelarsi molto molto semplice e quindi sarebbe un insulto per te . Penserai: “Perché diavolo non l’ho trovata da solo?”. Ti sentirai poco competente.

Ti sei girato verso di me, vedendomi forse come un essere sovrumano che possiede poteri sconosciuti all’uomo per risolvere il tuo problema, ma io non sono sovrumano. Attraverso i miei sentimenti, sono in grado di prendere informazioni dall’Universo e dal Creatore su tutto…ma ogni persona é in grado di fare la stessa cosa se non limita sé stessa nella mancanza di fiducia nei propri poteri.

Quando mi chiedi una soluzione che puoi trovare tu stesso, la tua stessa richiesta rafforza la tua dipendenza dagli intermediari – esperti, saggi, politici, sacerdoti – dalle autorità di qualsiasi tipo.

E ti dico: la risposta non può farsi strada attraverso l’ostacolo che hai creato, e il tuo fervido appello a me non fa che confermarlo. Quindi, non risolverò io il tuo problema!

Quando la nostra Anima ci mette di fronte a un problema, possiamo essere assolutamente sicuri di avere tutti gli strumenti e le informazioni necessarie per risolverlo. Presentandoci un problema. la nostra Anima vuole provocarci ad evolvere trovando nuove informazioni e nuovi strumenti!”

Anastasia, libro 10, p.132 e seguenti. A cura di Aviram

Vuoto e distacco 2

Come capire il vuoto in modo corretto ed efficace

Nel primo articolo sul vuoto, abbiamo imparato che nessun elemento dell’universo esiste da solo, ma attraverso la nostra percezione. La piena comprensione del vuoto probabilmente non è accessibile da un giorno all’altro, è un processo di apprendimento che può richiedere tempo e perseveranza. In altre parole, il vuoto è logicamente facile da capire, ma ci vuole tempo per assimilarlo veramente e lasciarlo permeare nel nostro essere. Con la nostra mente razionale possiamo capire facilmente che ogni elemento dell’universo è uno schermo su cui proiettiamo ciò che vediamo. E questa proiezione è così reale che può farci credere che non si tratti di una proiezione, ma di una realtà a pieno titolo. Questo è ciò che i buddisti chiamano « realtà ingannevole« . Sappiamo di aver capito bene il vuoto quando vediamo davvero tutto come una proiezione. Questa è la Legge Universale del Vuoto in azione:

Ogni elemento della realtà é uno schermo su cui la nostra mente proietta le immagini che provengono dal modo in cui abbiamo trattato le persone in passato.

In quel momento abbiamo raggiunto anche un distacco totale, perché non siamo più ingannati dalla realtà ingannevole!

Allora si aprono a noi due porte:

  1. Primo, possiamo controllare le nostre esperienze o percezioni per perseguire la legge del vuoto. E naturalmente é più facile per le esperienze piacevoli che per quelle spiacevoli, é la via dell’apprendimento o della ricerca.
    Ad esempio possiamo pensare ad una parte del nostro corpo che ci piace o che piace ad altre persone a cui piacciamo; e poi provare a scoprire quale tipo di azione da parte nostra ha creato queste parti.

  2. E possiamo ricordare sempre più di trattare le persone con amore e cura e così fare in modo di avere più esperienze piacevoli. Questo é il modo di applicare la legge del vuoto per rendere la nostra vita più pacifica e più felice.

La piuma

Immagina che io tenga in mano una penna. Se ti mostro la penna e ti chiedo che cos’è, mi confermerai che è una penna. Puoi anche prenderla in mano e scarabocchiare su un pezzo di carta per dimostrare che può essere usata come penna.

Poi arriva un cane. Gli metto lo stesso oggetto sotto il naso. Lo annuserà e riconoscerà che si tratta di un giocattolo da masticare. Lo mette poi in bocca e inizia a masticarlo per confermare che può effettivamente essere usato come bastone da masticare.

Chi ha ragione adesso? Tu o il cane?

Entrambi, perché ognuno di voi ha una percezione valida che funziona per lui.

Poi metto la penna sul tavolo e tutti lasciano la stanza, compreso il cane. Che cos’è quella cosa lì, tutta sola – un giocattolo da masticare, una penna o qualcosa di completamente diverso?

L’unica risposta onesta sarebbe “non lo so”.

Non è una penna, perché non c’è nessuno la cui mente proietta una penna perché ha aiutato qualcuno in passato dandogli una penna. E non è nemmeno un bastone da masticare, perché non c’è un cane che proietta l’immagine di un bastone da masticare.

È solo una « cosa nera » non specifica – uno schermo pronto per ricevere una proiezione e trasformarla in qualcosa di reale. Potremmo anche dire che si tratta di un plasma fondamentale o di una luce informativa che aspetta di condensarsi in qualcosa di specifico sul piano materiale.

Ecco di cosa si tratta con il vuoto – ogni cosa è solo una superficie per la nostra proiezione. E le nostre proiezioni vengono da noi e non dall’oggetto « al di fuori » di noi.

“Possiamo proiettare ciò che vogliamo sugli oggetti che vediamo?”

Sì e no. Se voglio vedere qualcos’altro, come un grosso diamante invece di una penna. La cosa diventa un grande diamante solo se la mia coscienza è così perfettamente strutturata e so come materializzare le cose, come fa il Creatore. E avrei anche dovuto piantare dei semi nella coscienza collettiva aiutando un’altra persona con qualcosa di veramente prezioso. Ma anche in questo caso, vedrei il diamante come una proiezione della mia immagine mentale.

Quindi non cambierebbe nulla alla Legge del Vuoto. Ma con la consapevolezza che abbiamo in questo momento, molto probabilmente vedremmo ancora una penna.

L’agente attivo nella percezione della realtà è l’immagine nella nostra mente, l’immagine dalla coscienza collettiva. Queste immagini sono stabili e non possiamo cambiarle, a meno che la nostra coscienza individuale non sia più potente della coscienza collettiva!

La Coscienza Collettiva

Abbiamo una coscienza individuale e una coscienza collettiva. Creiamo e manteniamo quest’ultima individualmente e la condividiamo con tutta l’umanità. Tutte le nostre percezioni, pensieri, parole e azioni sono registrate nella coscienza collettiva.

Siamo innanzitutto una parte dell’umanità e in secondo luogo un individuo – e non il contrario.

Siamo un’umanità e una coscienza collettiva dall’inizio dei tempi. E non importa se ne siamo consapevoli o meno. È qualcosa di molto importante da capire: abbiamo visto che i semi della bontà verso gli altri, che abbiamo piantato nella coscienza collettiva, mantengono i nostri occhi belli e il nostro sorriso. Ma oltre a questo, preservano anche il corpo in quanto tale. Se improvvisamente ci trovassimo in una brutta situazione e interrompessimo completamente tutte le azioni positive per la vita, moriremmo perché non riceveremmo più immagini della coscienza collettiva che manterrebbero la nostra vitalità.

Tutti i nostri atti di bontà ci fanno vivere in un mondo di pace e di felicità. Un tale mondo è piacevole, ha senso ed è coerente. E poiché siamo parte di questo mondo, anche noi ci sentiamo coerenti, tutte le nostre parti formano un insieme funzionale, dinamico, creativo e amorevole. La gentilezza non genera solo immagini felici che la nostra mente proietta su tutto ciò che incontriamo.

Ognuno di noi ha sviluppato alcune buone qualità – potremmo dire qualità di Buddha o di Gesù – ma queste qualità si manifestano solo occasionalmente, non sono completamente integrate. Appaiono, per così dire, per caso. Non siamo ancora veramente coerenti, siamo un amalgama di atteggiamenti e qualità diverse, perché le nostre azioni (pensieri, parole e azioni) sono così incoerenti. Ma più la nostra bontà diventerà la nostra caratteristica principale, più questi semi di gentilezza uniranno tutte le nostre qualità in un unico insieme, dandoci così un Sé coerente e consistente.

La gentilezza crea il sentimento profondo che la nostra vita e il mondo in cui viviamo sono coerenti e hanno senso. Ad un livello inferiore si crea così la continuità della nostra personalità. A un livello più profondo, i nostri atti di gentilezza ci permettono di riconoscere la coerenza e la continuità della nostra Anima. Sono i semi che ci fanno sentire come un tutt’UNO con il mondo in cui viviamo e come un tutt’UNO con il Creatore.

Il percorso per sbloccare il nostro viaggio dell’Anima potenziale

“Come possiamo usare la Legge del Vuoto per permetterci di viaggiare attraverso lo spazio? In altre parole: quali azioni di gentilezza verso gli altri creerebbero le immagini nella nostra mente che ci farebbero percepire che possiamo viaggiare attraverso l’Anima. Cosa ne pensi?”

Il contributo di Anastasia

Ora capiamo perché Anastasia dà tanta importanza alle immagini:

“Ogni informazione é un’immagine. E tutte le immagini sono luce informativa. L’uomo stesso é infatti un immagine che ha assunto una forma materiale e poiché é un’immagine materializzata, l’uomo stesso può usare il suo pensiero per creare e materializzare immagini. E’ qui che risiede il suo potere universale – un potere che non é superato da nessuno e nulla.

Se una persona non riconosce le capacità poste in lui dal Creatore, allora blocca sé stessa e i suoi poteri e cade sotto l’influenza di altre immagini che poi materializza, fino a quando non finisce per distruggere sé stessa, la sua famiglia, la sua stirpe familiare, il suo stato e l’intero pianeta. E’ ciò che possiamo osservare oggi, non é vero?

Il mondo artificiale e tecnocratico é stato anche creato dall’Uomo utilizzando l’energia e l’informazione delle immagini suggerite dai suoi nemici. Il mondo tecnocratico é fragile ed effimero. Anche il dispositivo tecnologico più avanzato si disintegra ogni secondo e diventa in pochi anni polvere, o peggio ancora, rifiuto nocivo per l’uomo. (Tra le immagini non edificanti del mondo tecnocratico figurano gli esseri di non-luce di cui Christina parla nell’articolo successivo.)

L’uomo stesso, diventa fragile ed effimero vivendo sotto le immagini del mondo artificiale. Infatti per un uomo che vive di oggetti in decomposizione, privo di vita, di amore e di capacità autogene, é difficile rappresentarsi la vita eterna, formare e materializzare l’immagine della propria eternità.

Il mondo naturale a noi visibile esiste da miliardi di anni. Ma l’immagine non ancora materializzata di esso esiste da molto più tempo. Il mondo naturale possiede la capacità di auto-generazione, e questa capacità lo rende eterno. Il Creatore, che ha creato l’eternità, é Egli stesso eterno.

Così ogni nuova Anima é creata dall’immagine archetipa nella gloriosa co-creazione. Questa immagine archetipa é naturalmente la nostra somiglianza al Creatore stesso. E’ in noi, é per così dire il nostro piano di costruzione creativo. Vai ad incontrarlo! E si precipiterà gioiosamente verso di te. Il cammino sarà gioioso. A poco a poco vi avvicinerete sempre di più e un giorno vi unirete!Proteggi l‘archetipo. Non abbandonarlo mai a causa degli altri.”

Anastasia, libro 10, pagina 85 e successive

E naturalmente l’immagine archetipa, la nostra somiglianza al Creatore, é impiantata nella coscienza collettiva attraverso tutti gli atti calorosi di bontà che compiamo verso gli altri. L’immagine archetipa si forma quando agiamo, pensiamo e parliamo come il Creatore – con tutto il nostro Amore e la nostra Gentilezza!

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